Au-delà de la verdeur de son langage, ne voyons que la détresse de ce merle |
J'ai longtemps hésité avant de publier les images qui suivent. Toutefois, puisque je me suis fixé pour but d'informer mes contemporains sur la réalité de notre société jusque dans ses aspects les plus choquants, j'ai décidé de le faire.
Je prie ceux chez qui la vision de ces photos provoquerait un profond abattement de bien vouloir m'en excuser.
Prise hier, avant la neige, cette photo illustre la honte d'une pie contrainte, pour survivre, d'avoir en cachette recours à la charité publique |
La neige nuit gravement à la qualité d'accueil du restaurant |
Ces quatre pinsons ont perdu leur proverbiale gaité |
Peut-être parce qu'elle est muette la détresse de ce break Ford est particulièrement poignante |
J'ose à peine ébrécher l'assourdissant silence qui pèse sur le blanc de la fenêtre à commentaires.
RépondreSupprimerLes commentateurs sont encore sous le choc !
SupprimerConsolez-vous, ici loin de votre Normandie, il neige aussi et il fait un froid de canard.
RépondreSupprimerIl parait que c'est à cause du réchauffement climatique.
Des hivers froids, des étés froids, si c'est pas du réchauffement, on se demande ce que ça peut être !
Supprimer"Normaaal", ai-je entendu dire, dans le frémissement d'un branchage par le vent. Faut-il s'en réjouir ? Brrr, tout cela me fait frissonner.
SupprimerImage insoutenables que celle de ce pauvre break laissé sans protection aucune, je quitte ce site avant de pleurer toutes les larmes de mon corps, parole de crocodile.
RépondreSupprimerAffreux, n'est-ce pas ?
SupprimerPlaignons aussi le gérant du restaurant qui ne peut servir en terrasse.
RépondreSupprimerMerci pour cette délicate pensée !
SupprimerEn effet, j'ai de la peine pour ce malheureux break-ford!
RépondreSupprimerAmitiés.
N'hésitez pas à faire appel à une cellule de soutien psychologique !
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