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dimanche 9 août 2020

Cadeau

En ce soir caniculaire et puisque vous avez été sages je vous offre, du fond de la Corrèze, une merveille : la voix est pure, la femme est belle, les paroles de Bruant splendides :

Plus beau, y'a pas ! 

12 commentaires:

  1. Du fin fond de la Corrèze ? mMis je croyais que vous aviez vendu votre maison là-bas ? Vous l'avez rachetée depuis? Et la Normandie alors ? Ce n'est plus votre tasse de thé ? Ah la verte Normandie...

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    1. La maison a fait l'objet d'un compromis de vente mais entre ce compromis et la signature de l'acte, il se passe trois mois durant lesquels je continue d'en jouir. Vous savez tout maintenant.

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  2. De Patachou, ma chanson préférée, quasiment depuis ma naissance (à dix ans, j'en pleurais comme une fontaine…) :

    https://www.youtube.com/watch?v=QXcc05v0c4M

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    1. J'ai toujours su que vous étiez, au fond, un grand sentimental !

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    2. Ygor Yanka disait, parlant de moi (mais c'était avant qu'on se rencontre, tout de même !) : “un gros veau sentimental".

      J'assume, j'assume…

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    3. @ Didier : Magnifique ! J'avais totalement oublié cette chanson qui m'est grâce à vous remontée à la mémoire. Je continue cependant de lui préférer "Rue Saint-Vincent" dont paroles et musique de Bruant me semblent atteindre des sommets. Quant à la voix de Patachou : une merveille !

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    4. Évidemment que Rue Saint-Vincent est admirable. Je l'ai souvent écoutée chantée par Francesca Solleville, dans des temps fort anciens.

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  3. Merci pour ce cadeau beau pour moi, à plus d'un titre !
    Je relève dans la bio de ma fille, morte le 15 juin 2020 :

    1995 : Création d'un spectacle sur des textes d’Aristide Bruant.
    Écriture et arrangements de la partition musicale.
    Tournée dans la région Rhône-Alpes et
    notamment dans le cadre de
    Régions en Scène (sélection pour le Festival "Le chaînon Manquant").
    Première partie de Serge Hureau dans son spectacle Gueule de Piaf au Train Théâtre de Porte-Les-Valence.

    Je ne me souviens plus si : "Rue Saint-Vincent", faisait partie des chansons de son spectacle, dont elle avait réécrit la musique, mais je suis sûre que la seule chanson dont elle avait conservé la musique originale était : "A Saint-Lazare".
    Peut-être qu'un jour tout cela émergera de la gangue des enregistrements plus ou moins pourris de l'époque ?
    C'est l'autre cadeau que je me souhaite !

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    1. Veuillez, chère Mildred recevoir toutes mes condoléances pour la récente perte de votre fille. Les mots sont vides de sens face à ce genre d'épreuve.

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    2. Souhaitons que votre vœu se réalise !

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  4. Il suffit de comparer avec les infamies qu'on nous inflige aujourd'hui pour comprendre qu'on est vraiment foutu!
    Amitiés.

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