Il y a quelques jours, M. Jégoun m’adressa un cinglant :
« Vous n’aimez pas les gens ». Paf ! Prends-toi ça dans les
dents !
Cela faisait suite à mon étonnement de le voir fréquenter
des gens comme l’Abdel auquel il
consacra quelques billets. Ce brave homme venait d’être tué par un autre
charmant personnage dans des circonstances aussi obscures que glauques sur
lesquelles je ne reviendrai pas. J’ajoutai mon peu d’enthousiasme pour les
bistros. A vrai dire, ne buvant pratiquement jamais entre les repas, je ne
vois pas trop ce que j’irais y faire. Surtout que les gens qu’on y rencontre…
C’est bien joli, la compagnie de gens plus ou moins imbibés
mais il faut l’être soi-même pour l’apprécier. Au temps déjà lointain où avec
les collègues j’allais au pub à Londres, j’ai fait l’expérience pénible, lors d’une
période de cure de sobriété, de passer une soirée sans une goutte d’alcool avec
d’autres qui ne suivaient pas mon régime. Ce fut à la limite du supportable.
Entendre la même personne répéter pour la nième fois la même blague ou anecdote
déjà vaseuse au départ ça gave vite
grave…
Et puis je dois dire qu’avec le temps je me suis rendu
compte que, de manière générale, je suis un solitaire et que je ne ressens que peu
le besoin de compagnie. En dehors des quelques rares personnes pour lesquelles
je ressens une sincère affection, je me trouve bien plus à mon aise seul qu’accompagné.
Un copain alcoolo repenti m’expliquait que, du temps où il buvait, l’alcool, plus
que lui faciliter le contact avec autrui, l’aidait surtout à supporter sa propre
compagnie. J’ai de moins en moins ce problème.
Au risque de faire de la peine au regretté Blaise Pascal pour qui «tout le malheur des hommes
vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans
une chambre »,
j’y parviens très bien. En sortir et voir du monde me pose plus problème.
Le monde vient vers moi par le net. Et puis il y a les livres, le
bricolage, le jardinage. En fait, je ne m’ennuie jamais.
J’en viens donc à penser qu’il se peut que l'« amour des gens » relève plus d’un besoin de se fuir que
d’un généreux élan vers l’autre.
Aussi lamentable que cela peut paraître, tout bien réfléchi, je crois
que Nicolas a raison : je n’aime pas les gens, seulement mes quelques
proches. Ce qui ne m’empêche pas d’apprécier
les qualités de beaucoup d’autres.
Je vous rejoins sur ce point.
RépondreSupprimerJ'ajoute que le genre de phrase assassine que le p'tit Nicolas vous a lancée a le don de m'exaspérer. Comme si il était impératif d'aimer les gens, comme s'ils méritaient cet amour inconditionnel. Je préfère nettement la compagnie d'amis choisis, de cette amitié qui est née d'une longue fréquentation, fondée sur des liens véritables plutôt que cette camaraderie factice de piliers de troquets. D'ailleurs les bistrots m'insupportent. Je déteste la viande saoûle. J'ai grandi dans une brasserie, je ne connais que trop bien le monde des pochetrons. Sans compter que mon métier me met régulièrement en contact avec la masse des avinés. Sans compter que la saoûlographie ne s'accorde pas avec mon tempérament plutôt rigoriste. Je préfère nettement savourer, de loin en loin, un vieux single malt avec quelques amis.
Deux choses, Koltchak...
Supprimer1. Ce n'est pas une phrase assassine, juste cinglante comme le signale le taulier, chacun fait ce qu'il veut.
2. "Je préfère nettement la compagnie d'amis choisis". Désolé mais moi, je ne choisis pas mes amis. Vous leur faites passer un concours ? Ca commence par un QCM pour éliminer les plus tarés ?
Affreux...
C'est boire en compagnie qui m'ennuie. Sinon, j'aime bien boire...
SupprimerDésolé mais moi, je ne choisis pas mes amis. Vous leur faites passer un concours ?
SupprimerIl ne choisi pas ses amis...
Quelle inconséquence chez cet homme !
Et c'est moi qui suis fou.....
Nicolas, je crois que le concept d'affinités électives vous est étranger. Libre à vous de vous lier avec le premier gazier qui entre dans votre mastroquet préféré, d'où qu'il vienne, quels que soient ses centres d'intérêt. Pour moi l'amitié, je ne parle pas de copinage ou de la complicité potache des tireurs de sonnettes, c'est une chose rare qui ne peut naître que lentement. D'où l'expression "amis choisis", étant entendu que ce n'est pas moi qui fait le choix, mais que c'est une délicate alchimie qui a fort bien été décrite par Montaigne : "parce que c'était lui, parce que c'était moi". Les vrais amis se comptent sur les doigts d'une main dans la vie d'un homme. Après, libre à vous de coller le mot "ami" sur n'importe quoi, après tout, c'est votre droit. Encore que "camarades" me semblerait plus approprié à la fois à vos opinions et à la localisation géographique de votre rade.
SupprimerD'où l'expression "amis choisis", étant entendu que ce n'est pas moi qui fait le choix, mais que c'est une délicate alchimie qui a fort bien été décrite par Montaigne : "parce que c'était lui, parce que c'était moi".
SupprimerExactement: une délicate alchimie.
Mais dès qu'il entend le mot délicat, NJ sort son revolver.
Si, durant votre vie vous pouvez compter deux amis, alors vous connaissez l'amitié.
Les potes, les copains, ceux avec qui l'on trinque à l'occasion, c'est en effet autre chose.
Koltchak,
SupprimerMais je ne colle pas "ami" sur n'importe quoi, c'est vous qui avez parlé "d'amis choisis", expression qui me choque (même si, après votre explication, on est d'accord sur la définition d'un ami, ou presque). Tous les tordus que je croise dans les bistros ne sont pas mes amis, loin s'en faut !
Par contre, pas plus que la notion "d'amis choisis", je n'aime celle de "vrais amis" qui oblige à faire une frontière, voire à hiérarchiser ses relations.
Tiens ! Je vais en faire un billet, j'ai assez pollué les commentaires de Jacques, déjà qu'il est obligé de me repêché des spams le pauvre (et qu'il faut que je réponde à DSL, ci-dessous).
Si Fredi M n'arrive pas à avoir plus de deux amis, j'ai d'autres pistes d'explications...
SupprimerSi Fredi M n'arrive pas à avoir plus de deux amis, j'ai d'autres pistes d'explications...
SupprimerC'est bien ce qui me semblait: vous ne comprennez rien, faut vous mettre les points sur les "i".
Ce que dit koltchak91120 (et moi-même) c'est que l'amitié est un sentiment rare comparable à l'amour.
Mais même dit comme ça, je ne suis pas sûr que vous compreniez, bouché comme vous l'êtes.
vous ne comprenez....
SupprimerJe vais faire comme Fredi, je vais mettre une citation en italique...
SupprimerOn ne sait pas ce que c'est que l'amitié.
On n'a dit que des sottises là-dessus.
C'est le début de l'hymne à l'amitié de Jules Romain... Je ne vais pas chercher à définir dans les commentaires d'un blog ce qu'est l'amitié, il y a déjà toute une littérature sur le sujet et Jules Romain le dit fort bien : on ne sait pas ce que c'est. Et je n'ai surtout pas envie de le comparer à l'amour.
Pendant les vacances de Noël, un copain depuis 77 ou 78 me dit : "je suis emmerdé ma voiture ne passera pas le contrôle technique et je n'ai pas de sous pour en acheter une autre". Un "vrai faux" ami lui aurait répondu : "je vais te prêter des sous, si tu veux". Je lui ai dit : "Tiens ! Je te donne la mienne, elle ne me sert pas."
Nous sommes des "amis d'enfance", des "vrais amis" probablement. Je suis toujours là quand il est dans la merde et il est toujours là pour moi. Pourtant, il n'y a aucune espèce de sentiment spécifique entre nous, et surtout aucun sentiment proche de l'amour. Si je me mariais (c'est un exemple, hein ...), il ne me viendrait pas à l'idée de prendre quelqu'un d'autre comme témoin...
Alors quand un type essaie de définir l'amitié par une expression comme "un sentiment rare comparable à l'amour", ça me conforte surtout dans l'idée qu'il n'a pas d'ami...
Et moi ça me conforte dans l'idée que vous avez la finesse d'esprit d'un poulpe.
SupprimerVous ne savez que sortir des lieux communs. Vous voudriez définir en trois lignes ce qu'est l'amitié sans même savoir ce que c'est alors qu'au aucun auteur n'a réussi à le faire...
SupprimerMais parce que vous avez une connaissance avec qui vous partagez à l'occasion un vieux Whisky, vous vous imaginez avoir un ami...
Pauvre vieux...
"M. Jégoun m’adressa un cinglant : « Vous n’aimez pas les gens ». "
RépondreSupprimerTrès amusant, quand on voit la façon dont il les traite, les "gens".
Tout ce qui n'est pas d'accord avec lui est un "connard".
C'est ptet un terme affectueux …
Pas tout ce qui n'est pas d'accord. Seulement les connard. Et les connasses.
Supprimerselon vos critères, qui sont loin d'être selon l'étalon normalement admis.
SupprimerJe m'attends bien sûr à un jeu de mots vaseux sur l'étalon.
J'ai souvent entendu dire, en parlant de gens qui buvaient : "Heureusement qu'il boit, sinon on se demande ce qu'il serait capable de faire !"
RépondreSupprimerAmusant ! C'est le mauvais gars, heureusement qu'il boit !
Supprimer" Cher monsieur, m'ont-ils dit, vous en êtes un autre ",
RépondreSupprimerLorsque je refusai de monter dans leur train.
Oui, sans doute, mais moi, j'fais pas le bon apôtre,
Moi, je n'ai besoin de personn' pour en être un.
Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on
Est plus de quatre on est une bande de cons.
Bande à part, sacrebleu ! c'est ma règle et j'y tiens.
Dans les noms des partants on n'verra pas le mien.
Fredi, quand je pense que vous nous avez fait retirer les vérifications de mots, et depuis, plus rien !
SupprimerVous nous la copierez, elle était excellente ^^
Tout ça pour dire que les gens sont vraiment aimables…
SupprimerCarine:
SupprimerJe reviendrai, promis.
Ah mais je suis une aimable personne moi !
SupprimerContrairement à ce que pensent certains.
Un J-E en plus fantasque.
D'accord avec vous sur le pluriel. Quant à être fantasque... Je l'ai beaucoup été. Avec l'âge vient la fatigue qu'on appelle sagesse.
SupprimerFredi:
Supprimer"Je reviendrai, promis."
Quand vous voulez !
Et puis il y a les livres, le bricolage, le jardinage. En fait, je ne m’ennuie jamais.
RépondreSupprimerLe jardinage...
Voilà ce que j'aimerai faire.
On vient de m'offrir "l'homme et les plantes cultivées", d'Haudricourt (le connaissez-vous ?) moi qui peine à maintenir en vie les quelques plantes de mon balcon....
Pas évident de jardiner quand on n'a qu'un balcon. Moi, j'ai trop de terrain...
SupprimerRester sobre pour passer une soirée avec des ivrognes : vous pousser le bouchon trop loin, aussi...
RépondreSupprimerC'est vrai. Ça s'est rarement produit !
SupprimerCôté spam, ça ne s'arrange pas...
RépondreSupprimerJ'ai réparé !
SupprimerNous nous ressemblons sur bien des points: je ne m'ennuie jamais et j'apprécie la solitude, le jardinage, la nature qui vit autour de moi, les livres, le silence.
RépondreSupprimerNous sommes fait pour ne pas nous rencontrer.
Ça sera avec plaisir !
SupprimerJacques Etienne, décidément nous sommes fait pour nous entendre.
RépondreSupprimerMoi aussi je ne m'ennuie jamais lorsque je suis seul, c'est avec les autres, parfois, que cela m'arrive.
Quant à "aimer les gens"... ceux qui prétendent aimer les gens me font penser à ces hommes qui disent aimer les femmes. J'ai toujours envie de leur demander : "même les vieilles et moches? même les stupides et les acariâtres?"
Evidemment ce n'est pas tout à fait ce qu'ils ont en tête.
Aimer les femmes jeunes et jolies ce n'est pas trop difficile. Moi aussi à ce compte là "j'aime les femmes".
"Aimer les gens" qui partagent les mêmes goûts que vous ce n'est pas trop difficile non plus.
Aristide,
SupprimerJe n'ai pas parlé "d'aimer" des gens mais "de ne pas aimer". Je ne veux forcer personne à s'asseoir sur un tabouret et à aimer tous les cons qui l'entoure. D'ailleurs, on ne peut pas dire que j'aime les gens, je passe suffisamment de temps tout seul au comptoir à rêvasser.
On ne pourra pas dire, non plus, que je n'aime pas les gens, ce qu'on peut dire, je crois de Jacques Etienne (même si je reconnais qu'une phrase cinglante dans un blog n'est pas spécialement adaptée).
@ Aristide : Nous pourrions donc ne pas nous rencontrer avec Pangloss !
SupprimerPour le reste d'accord avec vous.
@ Nicolas : Je n'ai aucunement été vexé ni ne me suis senti en aucune manière "cinglé" par votre remarque. Elle a juste suscité la réaction que j'ai écrite aujourd'hui.
Monsieur Aristide,
SupprimerMoi, j'aime bien les femmes, les hommes, vieux, jeunes ,gros, maigres, laids, beaux et même les alcooliques car on a peut les faire flamber facilement.
Quand je dis vieux pas trop quand même car il faut les laisser quelques jour dans un saloir pour leurs ôter l'odeur d'urine, le jaune oui mais en boisson.
Je crois que c'est Jegou, pas Jegoun, à moins que cela ne soit fait exprès...
RépondreSupprimerC'est Jégou mais j'ai demandé à Jacques de ne pas m'appeler par mon blase complet pour éviter les recherches Google au cas où je doive changer de boulot...
SupprimerQuand j'ai ouvert un compte internet, je voulais un identifiant court. NJegou était déjà pris alors AOL m'a proposé Jegoun. C'est devenu mon identifiant dans plein de chose et, à cause de Twitter, mon nom usuel dans les blogs ce qui est grotesque mais je m'en fous.
Vous vous êtes mal débrouillé mon tout beau, comment pensez vous que je vous ai reconnu à la Comète parmi tous ces nombreux clients, vôtre aura, u votre splendide corps d' athlète ou en tapant simplement votre blaze comme vous le dîtes.
SupprimerFaut vraiment être tordu pour chercher la photo de quelqu'un dans Google Image... D'autant que la description usuelle (gros frisé avec une cravate à chier) suffit largement plus que mes photos à me reconnaitre.
SupprimerFaut aussi vraiment être tordu pour penser que je puisse cacher ma photo dans Google Image à un potentiel employeur, surtout quand elle est dans mon profil Facebook et un peu partout, notamment sur le site du syndicat de la boite...
Je trouve ça assez amusant le nombre de gens qui ont un avis sur tout mais oublient de réfléchir.
Je vais expliquer par pure mansuétude : quand on cherchait mon blase sur Google, on tombait immédiatement sur mon blog politique. J'ai fait en sorte qu'on tombe sur autre chose. Mais je suis vigilant pour l'avenir, je demande au gens de ne plus utiliser mon nom complet (mais je n'en fais qu'une affaire de principe) pour que Google finisse par oublier mon blog dans quelques années...
Ce n'était pas pour être tordu mais en tapant simplement Jegoun et il me semble que je suis venu , je t'avais prévenu sur la dangerosité de la chose.
SupprimerSinon même sans connaître ta face de craie, il suffit d' observer qui joue le plus au coq de la basse cour quant à tes cravates pas d' avis dessus, je n' en porte jamais.
Gros, on est comme on est mais il vrai que tu te soigne.
Qu'appelles-tu jouer au coq ? Me mettre dans un coin du bar et écouter les gens ? Mon pauvre vieux... Vraiment tarés. Et menteur.
SupprimerNon, je t'ai observé durant quelques minutes et tu prenais ton rôle au sérieux, on aurait Monsieur Loyal, comme Ayrault.
SupprimerTu devrais venir plus souvent ou changer de lunette. C'est mal de mentir.
SupprimerLe mensonge est un trait de caractère des socialistes mais je ne mens pas car tu ne me connaissais pas et j'avais tout le loisir de t'observer surtout ce jour là, monsieur Jourdain et là je te fais trop d'honneur.
SupprimerMouarf ! Tu me regardais avec tellement d'insistant que j'ai immédiatement compris que tu étais un pauvre type qui me cherchait. Trouve un seul type qui peut témoigner sur l'honneur que je me comporte comme un vos en société et on en reparle. Pauvre type, vraiment.
SupprimerAimer les gens vaste programme, je n'aime pas les gens en général mais je fais avec et nous somme tous pareil car j'ai remarqué dans les transport en commun et que la situation le permet, les voyageurs ne s'assoient jamais les uns à côté des autres mais un par banquette et souvent en quinconce.
RépondreSupprimerPour les bistrots et leur population, c'est pas mon truc.
La solitude ça n'existe pas disait Bécaud, pourtant un moment seul n'importe où peut être salutaire et parfois si j' en vais la possibilité, je marcherais seul dans une rue de ville ou à travers la campagne ou face à la mer.
Pour le jardinage, rien à faire, les plantes en ma présence passent de vie à trépas sans coup férir.
Mais la lecture, quel bonheur mais surtout de la littérature, de l'histoire, là c'est le nirvana.
Tout à fait en accord avec votre billet. Je préfère recevoir des amis choisis et appréciés que d’aller au bistrot. Te fâche pas Nicolas !
RépondreSupprimerContre toi, jamais ! Surtout quand je suis invité à dîner dans une quinzaine de jours. En tant qu'ami, peut-être ?
SupprimerCela étant, ce n'est pas Jacques, dans le billet qui parle d'amis... Et encore moins d'amis choisis...
Ben oui en tant qu’ami ! Et mon ambition dans la vie, ce serait de vous avoir tous les deux ici, Jacques Étienne et toi.
SupprimerChiche !
SupprimerQuand vous voudrez Catherine...Espérons que ce ne soit pas un rendez-vous raté de plus !
SupprimerOn va organiser ça. Par mail.
SupprimerCeux qui aiment les gens, la plupart du temps, aiment surtout leur casser les pieds. Vous avez bien raison,
RépondreSupprimerméfions nous avant tout des gens et de ceux qui les aiment.
"L'enfer c'est les autres" et quand on sait, en plus, que ses chemins sont pavés de bonnes intention, il vaut mieux
demeurer tranquille en sa chambre. Avec internet, au moins,
on peut couper quand on en a marre.
Amitiés.
Je connais une bande de très joyeux misanthropes.
RépondreSupprimerEt votre blog messire Yanka ?
SupprimerMonsieur Jegou,
RépondreSupprimerVu la tête que vous avez fait en me voyant, cela m’étonnerait et je suis passé à plusieurs reprises devant votre personne et je vous ai même demandé pardon car vous me bouchiez l'entrée de la Comète mais trop occupé à faire le coq enfin quand je dis le coq, je devrais dire plutôt le paon.
À part me Prozac, je ne vois pas...
SupprimerTrop occupé à faire le paon parmi vos relations, un jour peut être je repasserais, votre besoin de reconnaissance est si important que le papillonnage est votre principal activité mais vous n' êtes qu'un gros bourdon et comme ces derniers vous êtes inutile.
SupprimerTu me fais un procès minable à l'image de ton personnage. Sans preuve. Sans témoin. Sans rien. Cela étant, tu peux aussi aller chier ailleurs, je suppose que le taulier a mieux à faire. Moi je me contente de répondre aux attaques...
SupprimerMinable et gros con.
@grandpas.
SupprimerMoi qui connais bien la serveuse de la Comète, une petite aveyronnaise taciturne qui s'ennnuie à cent sous de l'heure au bord de la nationale 7, je puis t'affirmer qu'elle ne connait aucun Nicolas.
D'ailleurs le rade ferme à 20h30 tellement il y a dégun.
Le taulier envisage de faire de l'endroit un kebab pour mieux satisfaire la demande locale, c'est te dire.
Bref: Nicolas n'existe pas, on t'auras leurré.
on t'aura...
SupprimerAh un témoin qui n'est jamais venu. Il n'y a pas de serveuse à la Comète.
SupprimerJe ne te fais aucun procès mais j' ai touché un point sensible du Jegou, son misérabilisme social.
SupprimerSans le net et les bars, il n'est rien, nada!
Des témoins, il y en plein mais ils sont lobotomisés, ils sont persuadés que tu es un Gourou ce qui est exact tu l’Émir socialiste que ton nom soit béni: " Il n' y a de François que de François et Jegou est son prophète"
Buveur de mauvaise bière, faux prophète et surtout un petit monsieur sans envergure.
Mouarf. L'autre n'a que internet et m'explique que sans internet je ne suis rien. Pourquoi insister à ce point sur le fait qu'il n'est qu'un gros con ? Amusant.
RépondreSupprimerJe me désabonne des commentaires.
Je me désabonne des commentaires
RépondreSupprimerEncore !!!!
Mais c'est une manie chez vous !
A tout à l'heure donc.
Je ne suis pas certain d'apprécier certaines "bagarres".
RépondreSupprimerD'autre part, même si je ne suis pas souvent d'accord avec lui, certaines analyses de Nicolas me plaisent par leur pertinence. Je serais attristé qu'il se désabonne.
Les attaques ad hominem sont sans grand intérêt.
Bien sûr nous ne sommes pas chez Montaigne et La Boétie, mais ne dirait-on pas tout de même qu'à votre manière salace, vous vous aimez tous les uns les autres ?
RépondreSupprimerC'est beau !
Ne pas aimer quelqu'un, ce n'est pas en faire la vedette rémanente de son blog ^^.
RépondreSupprimerNous sommes bien chez Montaigne et La Boétie.
Chez les Montaigne et la Boétie des pauvres en esprit alors !
SupprimerMoi aussi je suis un peu exaspérée que sur un blog, à bien des égards admirable, on ne cesse régulièrement de monter en épingle ces deux tr... - oh, pardon ! j'allais me laisser aller, influencée par l'ambiance générale - que je ne lirais sous aucun prétexte.
Certes les attaques Ad hominen ne font pas avancer le schmilblick mais être insulté par un personnage sur différents blogs peut être fatiguant et parfois on pète un câble.
RépondreSupprimerRassurez vous cher Jacques, je n'interviendrais plus sur votre blog ce qui ne m’empêchera de lire vos billets,comme cela il y aura un trou du cul en moins.
N'allons pas jusque là ! Disons que si on pouvait arrêter de s'insulter sur un blog que j'aimerais apaisé, ça ne serait pas plus mal. C'est tout.
RépondreSupprimerZ'avez raison...
Supprimer"être insulté par un personnage sur différents blogs peut être fatiguant" C'est amusant de relire l'historique de chacun des échanges avec ce lascar, notamment ici, vu que c'est lui qui me rentre systématiquement dans le lard... notamment ici.
Vive les blogs apaisés... Ca m'amène à activer la modération des commentaires, chez moi, à l'occasion...
Je me demande si ce sont toutes ces histoires d'"amour" qui m'ont fait me ressouvenir d'un chanson que j'aimais bien à l'époque de ma jeunesse folle.
RépondreSupprimerPour mon départ en vacances je vous l'offre , en vous disant à très bientôt :
http://www.youtube.com/watch?v=g5fpZxUWYKg
...de ma jeunesse folle...eh bien je préfère ne pas savoir ce qu'écoutaient les jeunes filles sages qui étaient pensionnaires du même couvent...
SupprimerJe vous souhaite des vacances de folie...enfin comme d'habitude.
J'ai pensé à vous, jazzman, quand j'ai écrit ce lien.
SupprimerJe me suis dit : jazzman va venir se moquer de moi !
Et au lieu de cela vous n'avez même pas voulu écouter. Pourtant Fredi a activé le lien.
Bon ! Cela dit je n'étais plus au couvent, à cette époque-là. Vous me direz que c'est d'autant plus grave.
Oui, je sais mais il m'est arrivé une ou deux fois d'être une impénitente midinette.
Non, j'ai écouté...un peu...puis j'ai sauté vers le milieu...et j'ai laissé tomber.
SupprimerJe laisse toujours à un morceau une chance à l'introduction (c'est souvent le meilleur, avouez-le) et éventuellement, pas toujours, un peu plus loin pour les lève-tard.
Et je ne me trompe presque jamais.
Pourtant j'aime assez Streisand, parfois. Mais pas là.
En relisant, je comprends pourquoi vous avez supposé que je n'avais pas écouté. J'avais pourtant juré que je ne ferais plus d'humour, j'aurais dû m'y tenir.
SupprimerBonnes vacances, Mildred !
SupprimerLa chanson de la folle jeunesse de Mildred.
RépondreSupprimerJolie berçeuse entre ()
Fredi, vous êtes un père pour moi !
SupprimerComme souvent, je me sens assez proche de ce portrait. Je suis bien avec moi même (et mes disques et livres) il y a quelques personnes que j'aime bien, cela me suffit.Oui, il y a une hiérarchie dans mes relations, j'ai des connaissances, quelques copains et quelques uns, très peu, sont devenus avec le temps des amis, rigoureusement choisis.
RépondreSupprimerStupidement, j'ai accepté de rencontrer deux ou trois personnes avec qui je m'entendais plutôt bien sur le net. L'idée ne venait, bien évidement, pas de moi et les rencontres ont été plutôt pénibles.
Alors quitte à passer pour un fâcheux ou un emmerdeur je n'accepte plus aucune invitation d'amis-fb, pas même une discussion par téléphone. Ce n'est pas parce qu'on plaisante par correspondance, à des heures que l'on choisit, qu'une vrai rencontre se passera bien.