Un monde sans Internet, sans blogs, sans Facebook, sans
mails ! Un monde où la pluie est battante ! Un monde où il fait froid !
Voilà où je vis depuis quelques jours. Il a fallu pour l’atteindre
des centaines et des centaines de kilomètres.
Survivre à une telle épreuve paraîtra impossible à beaucoup. Je les
comprends. Moi-même, si on m’avait informé des circonstances de ce séjour j’aurais
été réservé sur mon pronostic vital. Et pourtant…
Depuis notre arrivée dans les Landes, il est tombé
suffisamment d’eau pour transformer de façon durable le Sahel en contrée
verdoyante. Le soleil ne s’y est montré que quelques heures, histoire de
souligner le fond glacial de l’air. Une erreur de branchement privait notre
hôte de connexion Internet depuis un mois et demi qu’il avait emménagé dans son
nouveau logis. Le problème s’est trouvé résolu cet après-midi suite à une
conversation avec un voisin.
Et me voici relié de nouveau au monde. Une semaine entière de déconnexion. Un tel retard
dans la lecture des blogs amis et de Facebook
me fait craindre de ne jamais trouver le temps de le rattraper. Surtout
que demain c’est le retour vers les collines normandes et leur douce moiteur.
Voilà où nous en sommes. Il va falloir reprendre le rythme.
Avec prudence. Après un tel sevrage, la sagesse conseille une reprise
progressive afin d’éviter une probable overdose.
C'est con : moi qui avait justement choisi cette semaine pour écrire mes billets les plus fulgurants…
RépondreSupprimerJe vérifierai. Enfin,peut-être...
Supprimer"Moi qui avaiT" !
SupprimerEnfer et damnation !
Si vous voulez, je peux vous résumer la semaine : Didier et moi avons fait les cons dans les blogs et c'est à peu près tout ce qu'il y a à en retenir.
RépondreSupprimerOn profite de mon absence pour changer de stratégie ?
SupprimerJ’ai survécu !
RépondreSupprimerMerde !
Souhaiter la mort des gens est signe d'une grande âme ! Merci !
SupprimerJ'étais partie à peu près en même temps que vous.
RépondreSupprimerMon voyage devait durer 15 jours : au bout d'une semaine j'étais de retour à la maison à cause du froid, de la pluie et du fait que je n'avais emporté que des vêtements de plein été ou presque.
On repartira plus tard !
Vous êtes une optimiste ! Vous croyez vraiment que ça s'arrangera un jour ?
SupprimerContent de vous lire !
RépondreSupprimer"J'ai survécu" ! le jour (ou le lendemain) de la mort de Dominique Venner !
RépondreSupprimerProvocateur !
Je ne me détermine pas en fonction du suicide de tel ou tel...
SupprimerPas eu de carte postale. Je boude.
RépondreSupprimerPas de barque pour me rendre où ils en vendaient.
SupprimerOui, faites bien attention à vous et bon retour.
RépondreSupprimerAmitiés.
Ça y est, je suis de retour. Sans encombre. Merci de votre sollicitude !
SupprimerQuel courage!
RépondreSupprimerNous aussi avons survécu au fit que vous n'écriviez plus
Comment avez-vous fait ?
SupprimerÉpique, arthurien, titanesque, cyclopéen.
RépondreSupprimerC'est le moins que l'on puisse dire !
SupprimerOui enfin bon, y a l'retour, l'électeur -pardon- le lecteur assidu aura compris que la moitié seulement du danger est passé.
RépondreSupprimerReste à savoir si la piéride -un peu tôt- n'a pas ravagé, outre les bons chou-z-en devenir, la parabole, ou les surmulots le câblage...
Trop tôt pour évaluer les dégâts de l'absence...
Supprimer