..Toi qui entres ici, abandonne tout espoir de trouver un contenu sérieux. Ici, on dérise, on batifole, on plaisante, on ricane.

dimanche 11 septembre 2016

Cinq ans déjà !

Le 11 septembre 2011, paraissait ici même un premier article intitulé « Bloguons, puisqu'il le faut ! ». 1346 autres l'ont suivi. Pour de bonnes ou de mauvaises raisons, mes articles ont connu entre quelques centaines et quelques milliers de visites avec un record à plus de 56oo atteint par « Pour un droit à la casquette (plate) » dont je ne retire aucune gloire vu que son succès n'est dû qu'à la photo du sympathique vieillard à casquette qui l'illustre.

Quoi qu'il en soit, cinq ans ont passé, riches ou pauvre sen événements divers, selon le point de vue adopté. Nous avons vécu la victoire et le naufrage d'un président, mon père est décédé, d'immondes larves de piérides ont boulotté mes choux, j'y ai guidé les pas de mes lecteurs dans nombre de pays où je n'avais pas plus traîné mes guêtres que je ne leur ai conseillé de se risquer à le faire, on y a parlé bouquins, politique, bricolages divers, bref, il me semble que le contrat que j'annonçais dans mon premier billet a été rempli. En effet, je lui assignais pour but de «  parler d'un peu de tout et (surtout) de rien » et cela sur un ton souvent badin, ce qui, à de rares exception près, lui a évité de devenir un lieux d'affrontements.

Des commentateurs sont venus déposer au pied de ma prose leurs précieuses contributions. Certains ont disparu dans les limbes du Net, d'autres continuent depuis le premier jour à m'exprimer leur sentiment, d'autres encore sont apparus et devenus fidèles au point qu'un billet sans qu'ils n'interviennent me fait m'inquiéter de leur santé. Les commentaires sont le dessert du blogueur, sa récompense, l'assurance qu'il ne divague pas dans un total désert. A tous mes commentateurs, réguliers ou pas, à ceux d'entre eux qui sont devenus des amis, j'adresse un grand merci.

Ces deux dernières années, mes écrits se sont raréfiés. A cela plusieurs raisons. Le temps crée une inéluctable lassitude. Le paysage politique actuel est devenu plus que morne. Ma nature ne me poussant que rarement à l'indignation, les scandalounets qui font les choux gras de nos chers media me laissent de marbre. Il existe en fait peu de pays qui valent qu'on déconseille de s'y rendre. Malgré mon âge canonique, le gâtisme ne m'ayant que partiellement ravagé, j'évite de radoter et de ressasser mes rares amertumes. Et puis, peut-être et surtout, j'ai acquis une demeure en Limousin qui mobilise une grande partie de mon temps et de mes pensées. C'est d'ailleurs de ce lieu idyllique que j'écris ces lignes. On ne peut pas être au blog et au chantier nous enseigne la sagesse des nations.

Tout cela mènera-t-il à l'éventuelle disparition de ce blog ou du moins à son tarissement à l'instar de nombre d'autres de ma blog roll ? Je n'en sais rien. L'avenir nous le dira. Toujours est-il qu'après cinq ans de futiles et foutraques services, je voudrais remercier une fois encore tous ceux dont la fidélité m'a donné l'envie et le courage de continuer.

A dans cinq ans pour célébrer un deuxième lustre ?

mercredi 7 septembre 2016

On n'est plus chez soi !

Ne nous méprenons pas. Loin de moi l'idée de joindre ici ma voix au chœur des vierges effarouchées déplorant je ne sais quel sentiment d'envahissement du territoire national par une nuée d'éléments allogènes. Tel n'est pas mon propos.

Cette nuit, tandis que je dormais du sommeil du juste, ce dernier fut inopinément interrompu par un bruit qu'il ne me prit guère de temps à identifier comme étant de ceux qu'émettent les chats par les chaudes nuits d'été. Contrarié, je lançai moi-même un de ces cris qu'arrachent au citoyen le plus débonnaire les inadmissibles attaques à son droit imprescriptible à la tranquillité nocturne. Les miaulements s'interrompirent. Je pensai donc pouvoir retourner me blottir sans problèmes dans les bras de Morphée quand un bruit bizarre me parvint de la cuisine. Mon sang ne fit qu'un tour. Je me levai d'un bond, allumai les lumières, et ouvrit la porte y menant.

Un spectacle de désolation m'y attendait. Le sac poubelle qui je comptais porter au container le matin même gisait éventré sur le sol, son contenu s'y trouvant répandu. Un coup d’œil à ma montre m'indiqua l'heure du forfait : quatre heures moins vingt ! Est-ce le moment idéal pour s'armer d'un balai afin de regrouper des détritus avant de les remettre dans l'enveloppe qu'elles n'auraient jamais dû quitter ? Certes non, mais avais-je le choix ? Du coup, bien réveillé j'eus ensuite un mal de chien à me rendormir (si tant est que les chiens aient des problèmes d'insomnie, chose dont je doute fort).

Comment expliquer cette inadmissible incursion dans mon domaine privé ? Eh bien voilà. Afin de conserver une fraîcheur salutaire dans mon logis corrézien, je dors toutes fenêtres et porte du jardin ouvertes. C'est par ladite porte qu'en dépit du plus élémentaire respect de la propriété privée durent s'introduire des chats afin de se repaître de mes ordures, leur rivalité entraînant le dis-harmonieux concert félin ayant interrompu mes rêves.

Est-ce admissible ? Alors que je ne crains pas d'exposer ma vie aux éventuelles attaques égorgeuses de féroces soldats supposés mugir dans nos campagnes, me verrai-je contraint à me claquemurer dans mon humble demeure par la faute d'ignobles chats miauleurs qui viennent jusque dans ma cuisine éventrer mes sacs-poubelles ? Je crains bien que oui.

Que fait le gouvernement ?

mardi 6 septembre 2016

T'es rien qu'un sale racisse et pis c'est tout !

Je m'instruis chaque fois que j'ai une conversation avec mon aîné. Nos discussions sont franches, ouvertes et souvent animées. Il faut dire qu'au niveau politique comme sociétal, nos visions divergent. Il est resté fidèle aux options de nos vingt ans tandis que j'ai beaucoup évolué. D'une certaine manière, j'envie ceux qui n'ont jamais varié. Ce doit être confortable, au sens où peut l'être un vieux fauteuil. Ce qui est curieux, c'est que l'attirail idéologique en question s'est basé sur une opposition radicale à celui qui nous avait été inculqué. Réaction banale de l'adolescence mais qui, quand elle perdure me semble relever d'un manque d'ouverture d'esprit. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, mon aîné est-il d'une "catholicophobie" radicale tandis qu'athée de culture catholique je n'ai aucune animosité envers qui professe cette foi.

Donc nos échanges sont instructifs. J'apprends ainsi que France Inter n'est pas une radio de gauche mais que ses concurrentes généralistes seraient « de droite ». Amusant, non ? Si quelqu'un me disait que Présent ou Valeurs actuelles portaient bien haut le flambeau de l'objectivité journalistique, j'aurais du mal à ne pas pouffer. Je ne dois pas être sérieux.

De même, n'étant aucunement persuadé qu'une race (vous savez, cette notion qui n'existe pas) soit supérieure en potentialités à une autre, je ne me croyais pas raciste. Eh bien je me trompais car, interrogé sur mon mon niveau d'enthousiasme à accueillir une immigration de religion musulmane, je ne pus qu'avouer que ce dernier était bien relatif (je suis un euphémiste convaincu). Je faisais ainsi preuve d'un racisme certain sinon rabique, vu que je n'appréciais pas une forme d'immigration en fonction d'un critère spécifique. Il serait aisé de retourner à son auteur le compliment, vu qu'on aurait du mal à ne pas considérer son hostilité ouverte à la religion catholique comme relevant du même principe. Mais vu que le Catholicisme, pas plus que l'Islam ne sauraient être considérés comme des « races », il me semble que le terme soit inadapté.

Plus que de savoir si l'on est coupable du pire crime qui ait jamais affecté l'humanité et qui ne saurait mener qu'à de nouveaux holocaustes, ne serait-il pas plus utile de se poser quelques questions ? Par exemple, est-il souhaitable dans un pays comptant X millions de chômeurs d'accueillir en nombre de nouveaux venus quelle que soit leur origine ? D'autre part, amener à se côtoyer des populations de cultures fondamentalement différentes, surtout quand l'une d'elle est partout parcourue de courants fondamentalistes extrêmes, ne serait-il pas de nature à compromettre l'unité d'une nation déjà bien fragilisée par les oppositions nées en son sein ? Pour résumer, plutôt que d'assimiler à un crime impardonnable un rejet, ne serait-il pas plus rationnel de s'interroger sur ses causes ? 

Mais pour ce faire, encore faudrait-il se mettre d'accord sur les constats et ce n'est pas gagné d'avance face à qui pratique le déni. Quand on traverse la vie en chaussant des lunettes aux verres roses ou pastèque, la vision que l'on a du monde n'entretient qu'un rapport distant avec sa réalité. Constat retournable comme peau de lapin... On n'est pas sorti d'une auberge que je préférerais moins  multiculturelle.

samedi 3 septembre 2016

Métaphore

Supposons qu'à la manière décrite par Romain Gary, vous vous ne vous conduisiez pas toujours très bien chez ceux qui vous invitent, que vous buviez le lait du p'tit chat, que vous violiez la grand-mère avant de vous essuyer dans les rideaux du salon. Seriez-vous étonné qu'on ne vous conviât plus ou à tout le moins qu'on vous menace de ne plus le faire au cas où vous réitéreriez vos incivilités ?

Si vous disposez d' une moralité même embryonnaire, je suppose que vous répondrez par la négative à cette question et que vous feriez des efforts lors d'une prochaine visite.

Maintenant, supposons qu'au lieu de reproches ou de mises en garde vos hôtes vous trouvent des excuses. Se disent que tout est leur faute. Que, connaissant votre goût immodéré pour les boissons lactées, ils auraient dû planquer la gamelle du chat ou plutôt vous offrir spontanément ce blanc liquide, que la grand-mère s'était montrée bien trop aguichante et que votre réaction est naturelle autant que pardonnable, que faire toute une affaire de vieux rideaux souillés est indigne d'un hôte courtois. Supposons même qu'ils fassent semblant de n'avoir rien remarqué d'anormal à votre comportement et qu'ils vous décrivent à qui veut les entendre comme de parfaits hommes (ou femmes) du monde, des exemple que bien d'autres gagneraient à imiter Ne vous sentiriez-vous pas encouragé à reproduire vos bénignes errances voire à les aggraver ?

Cette plaisante métaphore vise la culture de l'excuse et le déni de réalité qui présentement font rage en doulce France. Comprenne qui voudra.

vendredi 19 août 2016

Hygiène alimentaire et éducation : le grand bond en avant.

Il n'y a pas si longtemps, les empoisonneurs régnaient en maîtres. Afin d'annihiler notre noble race,marchands de tabac et d'alcool poussaient les braves gens au crime. En ces temps barbares, on croyait tout ce qu'on imprimait. Aujourd'hui, grâce au progrès on croit surtout ce qui est diffusé par les media. On se demande ce que pouvaient bien être ces gouvernements qui dans les années trente permettaient que soient publiée un affiche comme celle-ci :



ou celle-ci:



Pourrait-on rêver aujourd'hui qu'une « Association pour la propagande pour le vin » soit reconnue d'utilité publique ? Qu'elle conseille de boire entre une bouteille (les 0,75cl préconisés devant relever de l'étourderie) et deux litre de vin par jour ? Qu 'on conseille d'en couper l'eau des enfants ? Que le « Comité national de propagande » mette en compétition le pinard à 10° et la viande, le lait, le pain ou les œufs ?

Des années cinquante-soixante me reste le souvenir de réclames telles que « Qui boit Vabé va bien » (sans préciser cependant le nombre de litre journaliers qu'il en fallait pour atteindre une santé parfaite), le Vin des Rochers était décrit comme « le velours de l'estomac », en Bretagne la marque de gros rouge « Dom Josué » imprimait sur ses étiquettes un constat incontestable suivi d'un conseil intéressé : « Si tu bois, tu meurs, si tu ne bois pas, tu meurs quand même, alors bois mais du Dom Josué ».

De telles affiches, de tels slogans seraient-il envisageables de nos jours ? Que nenni !  ! Aujourd'hui, on nous chouchoute, on nous bichonne, on nous met en garde contre d'éventuels mauvais penchants. Faut qu'on vive vieux, comprenez vous, qu'on ait la décence de mourir en pleine forme avec des organes nickel-chrôme. Faut pas qu'on fume, faut pas de sel, pas de sucre, pas de tabac, pas de matières grasses, pas de ceci, pas de cela. Faut faire du sport, surveiller sa ligne, prendre ses médocs, manger bio, faire des analyses, être raisonnable en tout, moyennant quoi... Moyennant quoi, quoi ? Le bonheur assuré ? Une forme olympique ? Une jeunesse éternelle ? Un peuple sain, entreprenant et dynamique ?

Les résultats ne sont pas probants. J'ai l'impression qu'on voit de plus en plus d'obèses, de handicapés divers, de gens à qui leur ombre fait peur, de vieillards bien décatis, bref que l'hygiène de vie et l'obsession de la santé ne tiennent que bien partiellement leurs promesses. 

C'est un peu comme avec l'éducation : vu tous les progrès qu'on a fait dans ce domaine ces dernières décennies, on serait en droit de s'attendre à rencontrer des jeunes épanouis, maîtres d'eux-mêmes, cultivés, innovateurs, raisonnables et pourquoi pas bien élevés, non ? Pas des couillons rivés à leur I-phone, courant après des Pokémons ou écoutant du rap.

Je ne dirai pas qu'avant c'était mieux mais j'ai du mal à percevoir l'aspect spectaculaire des progrès accomplis. En santé comme en éducation.



jeudi 18 août 2016

Ça branle dans le manche !

Culpabilisation historique, culte des minorités, communautarisme, immigrationisme, multiculturalisme,matérialisme consumériste, et bien d'autres, sont les poisons qui rongent l'unité des nations de l'Europe de l'Ouest. D'où nous viennent-ils sinon des USA ou du moins de la propagande « progressiste » étasunienne qui peu à peu, via les messages subliminaux ou non de films gnan-gnan et séries bêtifiantes est parvenue à corrompre les esprits du vieux continent ? Cette lèpre, détruisant jusqu'à la moindre trace de bon sens dans certains esprits de « gauche » tend à imposer une vision unique du progrès, lequel ne saurait aller que dans le sens de la culpabilisation historique, du culte des minorités, du communautarisme, de l'immigrationisme, du multiculturalisme, etc.

Ceux qui refusent cette vision présentée comme fatale du « progrès » sont fustigés du terme « populistes » quand on ne les traite pas de fascistes voire de nazis bien décidés à faire renaître les HLPSDNH. Rien que ça ! Alors qu'il serait nécessaire d'envisager d'autres formes de progrès basées sur la continuité de nos cultures et non sur des pseudo-valeurs d'importation. Car il se trouve que nous avons des cultures, des racines. Que, comme a insisté pour le nier le regrettable président Chirac, l'Europe ait des racines chrétiennes, est une évidence. Que la France plonge les siennes dans le catholicisme en est une autre. Ce détail peut échapper à certains aveugles de profession mais l'immense majorité de nos villages et de nos villes se blottissent autour d'un sanctuaire catholique quand ils ou elles ne portent pas le nom d'un saint.

Que cet état de fait résulte de la volonté unificatrice de nos rois plus que de l'adhésion unanime d'un peuple est également indéniable. L'histoire est l'histoire et en critiquer ce qui en a été le moteur est aussi stupide que vain : on ne la changera pas, tout au plus pourra-t-on la réécrire en fonction de biais idéologiques permettant d'en omettre le positif pour n'en garder qu'une interminable kyrielle de catastrophes jusqu'à ce qu'émerge la « lumière ». « Du passé faisons table rase» chantent les partisans de l'amnésie, inconscient de ce que leur folie égalitaire prend sa source dans certains écrits d'une religion qu'ils combattent avec ardeur.

Mais revenons à nos moutons étasuniens. A notre « progressisme » endogène est venu s'ajouter le leur. Pays fondé par des « dissenters » de tout poil, pays d'immigration, pays d'esclavage, pays génocidaire (il fallait bien faire de la place), pays dont l'apparente unité ne tient qu'à un culte inculqué du drapeau, il était normal qu'y émerge une société multiculturelle où le puritanisme ferait se développer le remord historique sans pour autant renoncer aux visées hégémoniques que lui permet sa puissance économique. Et pour ce faire quoi de plus efficace que de façonner les esprits européens en y instillant leurs névroses ? Ainsi vit-on émerger l'idée d'États-Unis d'Europe, censés faire pièce aux grandes puissances, tout en adoptant l'idéologie du grand-frère d'Outre-Atlantique et en se plaçant sous sa protection militaire.

Seulement, ça branle dans le manche : jusqu'au sein de la Mecque idéologique étasunienne, une partie du peuple se met à contester les sacro-saintes valeurs. Partout en Occident se développe un populisme de mauvais aloi, une forte défiance, voire un total rejet vis à vis des docteurs de la loi. Car l'amnésie n'est que partielle. On peut laver les cerveaux mais le résultat final n'est nullement garanti comme l'a prouvé l'échec idéologique du communisme en Europe orientale.

A quoi cela mènera-t-il, nous le verrons bien. L'histoire n'est pas finie.

mercredi 17 août 2016

Retour de Bourgogne


On dira ce qu'on voudra, mais la Bourgogne regorge de vieux amas de pierres. Profitant de la proximité de certains d'entre-eux de notre destination finale, nous nous y arrêtâmes afin de constater l'état déplorable de notre pays avant que l'immigration ne soit venue l'enrichir.

La première étape fut Vézelay où une célèbre basilique domine un village perché. Eh bien disons-le tout net, on ne voit pas pourquoi certains arriérés en font tant cas. D'abord, vu que la circulation y est réservée aux riverains, il nous fallut nous garer sur un parking payant avant d'entamer une pénible montée vers le cœur de la cité. Ne se rendent-ils pas compte d'à quel point l’ascension coupe le souffle des invétérés fumeurs ? Et puis à l'arrivée, que découvre-t-on ? Ça :






Eh oui ! Lamentable !

Comme si ça ne suffisait pas, notre entêtement nous poussa à visiter Avallon. Point de longue montée mais encore de vieilles pierres plus ou moins érodées :







Nous rejoignîmes Dijon, but de notre voyage motivé par les fiançailles de ma chère fille à qui me lient bientôt 32 ans de fidélité totale et inconditionnelle. Elle célébrait ses fiançailles avec une jeune homme du cru dans l'appartement dont ils s'étaient portés acquéreurs en compagnie de la proche famille : aïeules, parents et sœurs.

La table et le cadre étaient d'une élégance parfaite :




Les héros de la fête jeunes et beaux :



Heureux et fiers, les parents entourèrent leur progéniture :



Et les agapes se terminèrent par un magnifique gâteau :




Une journée parfaite, propre à faire oublier les horreurs architecturales du voyage ! Que les futurs mariés en soient remerciés ! Souhaitons leur un bonheur aussi parfait que durable .