On dira ce qu'on voudra, mais la
Bourgogne regorge de vieux amas de pierres. Profitant de la
proximité de certains d'entre-eux de notre destination finale, nous
nous y arrêtâmes afin de constater l'état déplorable de notre
pays avant que l'immigration ne soit venue l'enrichir.
La première étape fut Vézelay où
une célèbre basilique domine un village perché. Eh bien disons-le
tout net, on ne voit pas pourquoi certains arriérés en font tant
cas. D'abord, vu que la circulation y est réservée aux riverains,
il nous fallut nous garer sur un parking payant avant d'entamer une
pénible montée vers le cœur de la cité. Ne se rendent-ils pas
compte d'à quel point l’ascension coupe le souffle des invétérés
fumeurs ? Et puis à l'arrivée, que découvre-t-on ? Ça :
Eh oui ! Lamentable !
Comme si ça ne suffisait pas, notre
entêtement nous poussa à visiter Avallon. Point de longue montée
mais encore de vieilles pierres plus ou moins érodées :
Nous rejoignîmes Dijon, but de notre
voyage motivé par les fiançailles de ma chère fille à qui me
lient bientôt 32 ans de fidélité totale et inconditionnelle. Elle
célébrait ses fiançailles avec une jeune homme du cru dans
l'appartement dont ils s'étaient portés acquéreurs en compagnie de
la proche famille : aïeules, parents et sœurs.
La table et le cadre étaient d'une
élégance parfaite :
Les héros de la fête jeunes et
beaux :
Heureux et fiers, les parents
entourèrent leur progéniture :
Et les agapes se terminèrent par un
magnifique gâteau :
Une journée parfaite, propre à faire
oublier les horreurs architecturales du voyage ! Que les futurs mariés en soient remerciés ! Souhaitons leur un bonheur aussi parfait que durable .
Bien beau couple.
RépondreSupprimerAvec un tel père, ma fille ne pouvait qu'être jolie !
SupprimerQuelles horreurs!!Vite un Palmyre français.
RépondreSupprimerEt qu'il n'en reste rien !
SupprimerMais enfin, qu'est-ce que c'est que cette tignasse de zazou que vous arborâtes ? On vous pardonne parce que vous avez su bricoler une fille gironde (quoique vivant en Côte-d'Or), mais c'est limite.
RépondreSupprimerEh oui, après les héros de la fête, les zéros de la fête !...
Supprimer@Didier : Je vous interdis de critiquer le zazouisme. Récemment converti, j'espère que tous embrasseront ma foi et que fleuriront les tignasses.
Supprimer@ découleur : Sortez de ce corps, M. Ducret ! Je ne puis accepter que vous m'insultiez et encore moins que vous osiez vous attaquer à mon ex-épouse (une sainte femme !).
Sainte Femme car "Ex" ?...
SupprimerIl est à remarquer, qu'à partir d'un certain âge, les femmes dont on dit qu'elles "ont vécu", ont le choix entre devenir de "saintes femmes" ou des "vieilles dames indignes" !
Supprimer@ Edévertedespasmûres : En tout cas pas le contraire !
Supprimer@ Mildred : Mon ex-épouse étant une mère, en tant que telle et quoi qu'elle ait fait ou fasse encore est par définition une "sainte femme".
Ah, au fait ! La petite Anglaise, n'ayant apparemment pas eu droit à une fille, semble privée du même coup, de réunions familiales ? N'est pas injuste ? Cela ne risque-t-il pas de porter atteinte à l'Entente cordiale, bien mise à mal ces temps-ci ?
SupprimerSoyons clair : J'ai perdu toute trace de la "petite Anglaise" (comme de ma seconde épouse bien Française) mais rassurez-vous ma fidèle Nicole et le compagnon de la "sainte femme" étaient bien là.
SupprimerC'est quoi ces verres désespérément vides, sans le moindre Kir, vins du cru ou même cidre ?
RépondreSupprimerNous avions pris l'apéro au salon. N'étant pas des bois-sans-soif et l'entrée venant d'être servie, nous n'avions aucune raison de remplir nos verres. Mais rassurez vous, ils le furent ensuite.
SupprimerEntre les vieilles pierres atroces, les beaux appartements et les gens qui semblent encore civilisés, sympathiques et convenables, on pourrait dire que vous venez de faire une incursion dans le passé...aujourd'hui tout cela est à oublier au profit de l'art contemporain, de la diversité et du vivre ensemble.
RépondreSupprimerAmitiés.
En soi, célébrer des fiançailles est un peu rétro. Mais rassurez vous ma fille et encore moins son futur époux ne sont des fanatiques du vivre ensemble et autres modernes fariboles.
SupprimerEffectivement, toujours préoccupé par l'éventuelle arrivée d'une palette (franco de port) d'une cervoise alsacienne, il m'avait échappé que célébrer des fiançailles était un rien suranné, voir même d'une ringardise échevelée !...
SupprimerSi respecter les tradition est ringard, où allons-nous ?
SupprimerFaribole qui rime avec batifole ...
SupprimerDeux biens jolis mot et verbe parmi une palanquée d'autres chus en désuétude !
Après de pareilles fiançailles, on n'ose imaginer ce que sera le mariage !
RépondreSupprimerJe partage vos craintes !
SupprimerQuand vous abandonnez le bricolage, vous faites très fort. Félicitations!
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