Au prix de risques inouïs, notre reporter a pu prendre ces photos
dont nous vous prions d’excuser la faible qualité due aux circonstances de leur prise.
Elles ont été prises dans un endroit que nous tiendrons
secret situé dans les collines du bocage Bas-Normand. Ce lieu, réputé peu
propice à ce genre de culture est en passe de supplanter Cavaillon et les Charentes et de bientôt inonder
le marché mondial du melon.
Si ces délicieuses cucurbitacées ne mesurent pour l’instant
que 3 à 4 cm de diamètre, leur rapide croissance et leur nombre laisse présager
d’une récolte propre à provoquer une baisse importante des cours.
Si cette information sonne comme un tocsin pour les régions traditionnelles
de production gageons que les gourmets du monde entier ne manqueront pas de s’en
réjouir.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informé des prochains développements de ce que certains n'hésitent déjà pas à qualifier de "Révolution du Melon".
Nous ne manquerons pas de vous tenir informé des prochains développements de ce que certains n'hésitent déjà pas à qualifier de "Révolution du Melon".
Tant mieux pour vous Maître Jacques mais très honnêtement, je me demande ce que les gens peuvent trouver au melon de mon côté son goût douceâtre me donne la nausée avec ou sans porto.
RépondreSupprimerC'est que vous ne connaissez pas le melon du bocage Bas-Normand.
SupprimerTrès bonne nouvelle Jacques!
RépondreSupprimerLes melons charentais du Maroc n'ont qu'à bien se tenir!
Qu'ils se tiennent bien ou mal, il seront vaincus !
Supprimer"Où cultive-t-on les melons ?" demande l'examinateur à ma soeur.
RépondreSupprimerElle ne sait pas. Elle se tait.
- Mais enfin, mademoiselle, qu'y a-t-il d'écrit sur les melons ?
- Melon Le Parfait - Garanti mûri sur tige"
Je ne savais pas qu'ils en cultivaient à Mûri-sur-Tige !
SupprimerSavez-vous que dans le sud, on appelle également "melons" ceux qui les ramassent, et que l'on reconnaît à leur peau burinée par le soleil ? Si je vous souhaite une bonne récolte, je ne vous en souhaite ni la révolution, ni la diversité liée.
RépondreSupprimer:)
"Révolution du melon"...hum, méfiez vous, cela pourrait prêter à confusion et vous attirer les foudres de certains...
RépondreSupprimerEn tout cas, mieux vaut un tout petit melon bien à soi qu'un gros sorti d'on ne sait où.
Et puis, un melon normand, ça ne tire pas à conséquence.
Amitiés.
Les cueilleurs ne font pas l'objet d'autant de sollicitude que certains.
Supprimer"Et puis, un melon normand, ça ne tire pas à conséquence."
P'têt' ben qu'oui, p'êt ben qu'non...
Je ne puis qu’acquiescer à la mise en garde de Nouratin. Le terme approprié serait plutôt "printemps arabe". :-)
SupprimerVous voulez dire "Printemps des cueilleurs" (Je m'obstine à faire semblant de ne rien comprendre) ?
SupprimerProverbe arabe : Quand le jardinier prend le melon, c'est que ses fleurs sont fanées.
RépondreSupprimerProverbe à la fois juste et beau.
SupprimerBelle réussite! Un bon coup de soleil là-dessus et ce seront des merveilles de melons.
RépondreSupprimerVous êtes fier de vous au moins?
Comme un pou !
SupprimerNe dit-on pas, d'ailleurs, "un arabe au portail, des melons au porto"
RépondreSupprimerOh! J'en réfère immédiatement à une des très nombreuses associations gouvernementales! Je vais être sympa, je vous laisse le choix de l'association. :)
SupprimerC'est vrai qu'"un cueilleur au portail, des melons au porto" eût été politiquement plus correct.
SupprimerJ'oublie que nous ne sommes plus dans les années 70 ou 80 ou la parole était libre (à peu près).