..Toi qui entres ici, abandonne tout espoir de trouver un contenu sérieux. Ici, on dérise, on batifole, on plaisante, on ricane.

jeudi 2 août 2012

Changer le monde…




Le changement est à l’ordre du jour. Il paraîtrait même qu’il est en marche. Pour une bonne nouvelle, c’est une bonne nouvelle  mais que veux-t-on changer au juste?

Changer le monde ? La société ? Il n’est pas toujours évident de changer le bébé, de banque, d’emploi, la housse de couette, son fusil d’épaule, d’adresse, l’eau des poissons rouges, de braquet ou encore de l’argent ! Alors, le monde, la société, je ne vous dis pas ! On m’objectera que les deux bougres ont tendance à changer d’eux-mêmes. Ben oui, justement. Il est mouvant comme tout ce foutu monde. Alors pourquoi jouer les mouches du coche quand la machine va toute seule ?

Une des choses qui différencie le plus la droite non fasciste de la gauche réside dans une vision différente du changement. D’un point de vue de droite quand on ne se sent pas satisfait de son statut social, on entreprend, dans la mesure de ses moyens, d’en changer. Pour la gauche, on compte plus sur un changement social pour y remédier. Plutôt que de changer de place, on rêve d’améliorer sa place. C’est plus une mentalité de fonctionnaire que d’aventurier. A droite, si son enfant a des difficultés scolaires, on l’exhorte à l’effort, on l’aide et si on en a les moyens on lui fait donner des cours (tout en maudissant l’Éducation Nationale). A gauche, on pense qu’avec davantage de profs ça ira mieux.  De manière générale on attend un maximum de la puissance publique et peu de soi-même.

Je trouve étonnant que l’on pense plus aisé d’obtenir ce que l’on désire en attendant d’un gouvernement qu’il change la société qu’en faisant des efforts personnels.  Surtout quand la marge de manœuvre de ce dernier se réduit comme peau de chagrin. On m’objectera que plutôt qu’une solution individuelle les tenants du changement social visent des solutions collectives. Certes, mais ce collectif n’est souvent  pas dénué d’arrière-pensées personnelles. A part, bien entendu,  dans le cas des bobos sincères mais tout le monde n’est pas masochiste.

On m’objectera : quid de ceux qui n’ont pas les moyens physiques, intellectuels ou moraux d’améliorer leur sort ?  Sauf à considérer que la société est majoritairement composée de polyhandicapés cela ne concerne que très peu de gens.

Il parait que le nouveau gouvernement va instaurer plus de justice. Je veux bien. Tout dépend de ce qu’on appelle la justice. Si la justice consiste à dépouiller les riches et les moyens afin de boucher quelques trous et d'opérer quelques réformes inutiles, je crois qu’on peut lui faire confiance.  Si tel n’est pas le but, encore faudrait-il s’entendre sur la définition de cette fameuse « justice ». Je crains que droite et gauche n’en aient pas la même conception.

57 commentaires:

  1. Voilà un joli raccourci.
    La droite travailleuse, la gauche flemmarde.

    Vous vous êtes faits plaisir. Tant mieux pour vous.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce n'est pas EXACTEMENT ce que je dis. Je souligne simplement le fait que les gens de gauche attendent davantage des améliorations de leur sort de réformes sociales que de leurs initiatives personnelles. Cela ne signifie pas qu'ils ne fassent pas leur devoir.

      Personnellement, j'ai toujours été davantage partisan du "travailler plus pour gagner plus" que du "revendiquons, mettons-nous en grève et défilons en braillant pour obtenir une augmentation". Ce qui a eu l'avantage, entre autres, de me faire découvrir des milieux et des gens intéressants.

      Supprimer
    2. Me renseignant sur vous, je m'aperçois que vous êtes du Trégor ! Le monde est petit !

      Supprimer
  2. Ne dirait-on pas qu'avant de changer le monde vous ayez décidé de vous changer en "blogueur politique", vous savez celui auquel le monde des blogs appartient ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Que nenni, Mildred, que nenni ! Seulement, en tant qu'esprit universel, je me dois de traiter de tout ce qui concerne l'humain ce qui inclut la politique.

      Supprimer
  3. Les bisous c'est maintenant,le bâton c'est demain !

    Les socialistes n'ont pas les sens de l'humour mais on le savait déjà et c'est maintenant.

    RépondreSupprimer
  4. Donc:

    à droite: les aventuriers qui résolvent les problèmes par leurs efforts personnels.
    (responsabilité)


    à gauche: les fonctionnaires qui demandent plus de moyens pour l'état afin que celui-ci améliore leur situation. (assistanat)

    Moi, je suis de droite alors.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est bien, Brindamour !

      Attention, il y a beaucoup de tentations gauchisantes à droite !

      Supprimer
    2. Jacques, je tiens à vous donner raison, alors je vais prendre 4 minutes pour vous raconter un commentaire que j'ai lu sur un article web du parisien.
      Comme d'hab, tout le monde gueulait contre l'Etat, qui délaisse les pauvres gens, haïs par les riches... Ca gueulait, cherchait pas à savoir s'ils pouvaient se tromper ou pas... C'était la fête du Rouge.
      Et là je vois apparaître un commentaire, d'une dame, qui dit aux gens d'arrêter de sa plaindre, et explique qu'elle-même dans une cité, elle a tout fait pour inculquer les valeurs de travail et d'effort (que vous décrivez parfaitement dans ce billet) à ses deux enfants, qu'il ne fallait pas compter sur un tiers intervenant pour trouver le bonheur. Le bonheur, quand on le trouve, c'est qu'on a fait des efforts. Elle expliquait qu'à force de perséverence, de travail, ses deux fils s'en étaient sortis. L'un était ingénieur, l'autre je sais plus.. Elle est l'exemple concret de ce que vous décrivez. Vous êtes dans le vrai le plus total. En totale adéquation avec la réalité! Un 3 points au basket! Un strike au bowling!
      Ce commentaire fut le rayon de lumière de toute cette page de commentaires, et j'étais à la fois heureux et désolé. Car un rayon de soleil fait toujours du bien, mais dommage que les gens n'aient pas appris penser par eux-mêmes..
      En fait, si on va plus loin, vous donnez là une des clés du succès pour tous ceux qui rêveraient de s'en sortir. Mais quelle clé! Avec le socialisme ambiant, tout comportement qui serait individualiste est à bannir.

      Jacques, j'ai des indigestions face au ps, et les blogs comme les votres, (carine, didier, skandal...) sont le Mercalm dans la tempête. Ca calme mes nausées.

      Supprimer
    3. Si je sers à ça, Pierre, c'est déjà beaucoup !

      Supprimer
    4. Ce serait beau. Mais ce n'est malheureusement pas sur le registre d'émancipation individuelle que le présent gouvernement veut parier.
      Je rends par la même occasion hommage à Lafontaine, qui permet aux plus jeunes de comprendre les hommes et ses bassesses.
      Est-il toujours enseigné?

      Supprimer
  5. Bonjour Jacques.
    Vous avez utilisé une savoureuse image pour décrire ce gouvernement:"Alors pourquoi jouer les mouches du coche quand la machine va toute seule ?".
    Vous avez réussi à résumer en une phrase, une image, tout leur travail.
    Le coche et la mouche s'applique de toute évidence à leurs actes.

    RépondreSupprimer
  6. Très belle photo d'illustration.

    Très beau cliché ensuite, aussi.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bravo pour l'humour !

      Toutefois même si certaines opinions sont des clichés ou des truismes ça ne retire rien à leur vérité.

      Supprimer
    2. Partiellement, si... D'ailleurs des opinions peuvent-elles être des vérités ?

      Supprimer
    3. Existe-t-il des vérités absolues ? Surtout en matière de politique ?

      Supprimer
  7. Jacques, vous êtes mon prophète.
    A un problème donné, la solution est bien souvent en nous, alors que la gauche fait croire que la solution est dans l'Etat.
    Pour preuve le sujet de philo au bac s: "l'Etat rend-il plus libre?". J'ai eu des nausées quand je l'ai découvert.
    Le vice de leur philosophie, c'est de faire croire que l'Etat est nécessaire dans le quotidien de chacun. Genre on ne peut rien faire sans l'Etat.
    Alors que la liberté est en nous, elle s'arrache au prix de gros efforts, mais je ne vais pas refaire votre billet, vous l'expliquez très bien.
    Je me sens mieux aujourd'hui.
    Ce qui est drôle, c'est que j'avais eu 14 au commentaire composé sur le Coche et la Moule (je m'en souviens encore dites-donc), du coup vos propos trouvent un bel écho dans mon esprit.

    Ce billet me parle énormément.
    J'ai bien peur qu'ils suppriment la Fontaine à l'école, car ses fables décrivent parfaitement le socialisme.

    Bonne journée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Prophète ? Rien que ça ? N'exagérons rien !

      Pour ce qui est de l'état garant des libertés, ça me paraît vrai quand il se borne à ses fonctions régaliennes. Plus il les outrepasse et s'occupe de tout, moins il reste de liberté.

      Quand j'enseignais le Français en classe de 5e, je consacrai beaucoup de temps à La Fontaine et beaucoup d'élèves appréciaient...

      Supprimer
    2. "Le coche et la moule" ?
      Pas de doute jazzman va sortir de sa tanière où il doit encore cuver ses agapes festives d'hier !

      Supprimer
    3. Je voulais signaler l'erreur. J'ai bien peur en effet que Jazzman se rue sur la moule ! Souhaitons qu'il n'émerge que dans quelques jours de ses agapes patriotiques.

      Supprimer
    4. Je n'avais pas vu cette nouvelle fable "La moule du coche" car elle n'était pas sur la diagonale traversant le commentaire de Pierre.
      Heureusement que vous l'avez signalée.
      Je n'ai eu aucun mal à émerger car je suis un associal indigent qui ne boit pas "en suisse", mais il y a eu une coupure de courant dans mon immeuble pour cause de travaux...voilà.

      Supprimer
  8. Je suis sidéré de voir à quelle vitesse les "degôche" surveillent les sites dit réactionnaires. Ces derniers seraient ils proches de la vérité ou viennent ils dans un esprit "big brother", seraient ils les *Kang Sheng de sa Normalitude 1er?

    *Kang Sheng fut surnommé ;" les yeux et les oreilles de Mao" et le dirigeant le plus craint du peuple chinois.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je t'explique : j'arrive au bureau, j'ouvre mon agrégateur de flux. Comme a peu près tous les matins, Jacques a fait un billet et je le lis...

      On ne surveille pas (quel serait l'intérêt ?), on lit.

      Supprimer
    2. C'est bien ce qu' écrit Jacques, étant selon vos critères un abruti inculte et réactionnaire, sur mon poste je ne peux aller m' amuser sur le net car j'ai un emploi qui m'occupe à plein temps malgré la présence de vilains ordinateurs mais vous grand intellectuel à l' oeil vif et aussi admirateur inconditionnel du représentant en habillement pour vigiles de super-marchés, vous avez le temps de baguenauder sur les sites les plus méchants pour votre Élu.

      Tout est là, il y a en un qui travaille et un autre qui se regarde le nombril, il est vrai quand on vous connait, la gymnastique ne doit pas être aisée.

      Bien à vous.

      Supprimer
    3. Et voila ! Une attaque sur le poids, une sur l'habillement, une sur le boulot... La plus drôle est l'attaque sur mon ouverture : désolé, je ne fréquente pas que des sites de gauche.

      Supprimer
    4. On se calme ! On peut dialoguer sans attaques ad hominem, que diable !

      Supprimer
    5. Je pense aussi, Jacques...

      Supprimer
    6. Mais je suis calme, d'un calme olympien surtout en ce moment où je regarde du hockey sur gazon féminin, j'adore les sports féminin surtout le beach volley, là c'est le top certes le temps londonien ne se prête aux tenues légères mais quand c'est la cas, houlala difficile de rester concentré.

      Les attaques ad hominen, si Monsieur Nicolas le pense, va pour la paix des claviers.

      Allez je vais au boulot enfin selon certains, les fonctionnaires ne sont que des fainéants et je le confirme pour mon cas personnellement moi même.

      Je fus toujours un mauvais élève qui aimait ennuyer les premiers de la classe.

      Supprimer
  9. Mais Jacques, entre nous, j'ai bien étudié mon clavier, comment peut-on remplacer les lettres C et H par un L, sans s'en apercevoir ?
    C'est loule, euh... je veux dire c'est louche !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bon j'avoue, j'ai eu autant envie de le faire qu'une tite mamie passant devant une pâtisserie à 4 heures, et qui verrait un éclair au café lui faire les yeux doux.

      Supprimer
  10. Un de mes amis, français d'origine tunisienne, est la parfaite illustration de ce que vous décrivez.

    Ses parents venus de Tunisie ont posé leurs valises dans un hlm de Vaulx-en-Velin. La mère faisait les ménages et le père turbinait à l'usine. Les fins de mois étaient difficiles surtout les 30 derniers jours comme disait Coluche. Collégien puis lycéen il n'avait pas bonne presse parmi ses camarades car il ne traînait pas dehors. Il rentrait, faisait ses devoirs, révisait, bref il bossait car il avait un rêve : se faire une place en or pour sortir ses parents de la misère. A force d'efforts il a fini par intégrer Centrale d'où il est sorti major de sa promotion. Aujourd'hui il bosse dans une multinationale, est propriétaire d'un appartement sur les bords de Seine et a offert un pavillon à ses parents.

    Son parcours, c'est le rêve humide de tout socialaud, sauf qu'il ne le doit qu'à lui-même. Logiquement, il n'est pas de gauche mais libéral.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le plus fou est que c'est à l'évidence une très bonne manière de changer son destin, voire l'unique manière, et que les socialistes auront toujours des ruses démago-idéalo-communo-pipo pour prétendre le contraire.
      Alors quand ils disent qu'ils vont changer les conditions de vie des "plus faibles", on sait très bien qu'il se fout de la gueule du monde!
      Car un immigré qui démarre en bas de l'échelle, et qui s'en sort, ne votera certainement pas à gauche s'il finit par avoir une bonne situation, qu'il aura eue par ses moyens, en se battant.
      Donc, la gauche n'a aucun intérêt à trouver des mesures efficaces pour sortir les gens de la merde.
      J'ai un pote qui m'a traité de dogmatique quand je lui ai dit que la gauche c'était le parti des délinquants.

      Supprimer
  11. "Ne demande pas ce que ce pays peut faire pour toi mais ce que tu peux faire pour ce pays."
    JFKennedy qui reprenait une fameuse citation de Brindamour.

    Vous rendez-vous compte tout ce que cette phrase a de subversif en France aujourd'hui.
    D'ailleurs, je l'ai affiché hier au guichet de Pôle Emploi. Les gens me regardait avec un air bizarre.

    RépondreSupprimer
  12. De manière générale on attend un maximum de la puissance publique et peu de soi-même.

    C'est ça. L'une des caractéristiques de la gauche c'est la croyance que l'individu est impuissant, qu'il ne peut arriver à rien sans le soutien constant de la puissance publique. Et même lorsqu'il semble n'avoir pas besoin de la puissance publique - lorsqu'il est riche par exemple - il faut que celle-ci le surveille, le guide, le limite, le dirige sans cesse, car on ne peut pas faire confiance à la liberté et à la raison humaine.
    Ce qui se décline selon beaucoup de variantes : culture de l'excuse pour les délinquants, Etat-providence, redistribution des revenus, etc.
    Ce qui permet aussi d'affirmer que la droite française est bien de gauche.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La France était un pays fort, avec une belle identité, ferme dans ses valeurs.
      Maintenant que la France est malade, on doit tous se mettre au diapason de la maladie, sous principe d'"égalitarisme"(rosaëlle)
      Comme l'a dit Skandal dans un billet, l'exode a déjà commencé, et a démarré avant le 6 mai.

      Supprimer
    2. " on ne peut pas faire confiance à la liberté et à la raison humaine ".

      D'un autre côté, pour peu que l'on veuille bien se rappeler de ce qui a été accompli en 1789 au nom de la liberté et de la raison, il me semble qu'il y a des raisons de se montrer pour le moins circonspect.

      Supprimer
    3. Carrément!
      La révolution de 1789 est censée construire l'intellect des jeunes qui deviendront des adultes. Comme si c'était le réel point de départ de l'histoire, que tout ce qui a été fait avant n'était qu'injustice...
      La marseillaise: "qu'un sang impur abreuve nos sillons". Nan mais c'est délirant de chanter de telles conneries. Ca veut dire quoi? Si je ne suis pas convaincu par le bien-fondé de cette révolution, que je ne me reconnais dans ces valeurs qu'on continue à propager, je mérite de voir mon sang abreuver les sillons?

      Je me demande si la révolution, la manière dont elle s'est faite, ne s'apparente pas à une forme de fascisme..

      Tu m'étonnes que je ne fais pas confiance si facilement aux gens.

      Supprimer
    4. Evidemment, mais de quelles bonnes choses ne peut-on pas abuser? N'a-t-on accompli bien des crimes au nom de la religion, du roi, de l'empereur, ou que sais-je encore?
      De toutes façons la question est de savoir si l'on estime que les individus sont responsables de leur propre vie, c'est-à-dire si, dans des circonstances normales un homme ordinaire est capable de mener sa vie, de prendre soin de lui-même et de sa famille, sans avoir besoin du concours incessant de l'Etat.
      C'est le point sur lequel je voulais insister et, me semble-t-il, Jacques Etienne aussi.
      Pour ce qui est de l'organisation du pouvoir politique, c'est autre chose.

      Supprimer
  13. Si les gens s'en sortent, qu'on trouve des moyens concrets pour aider les gens à se sortir de la merde, quel deviendrait le but du socialisme? Plus personne sur qui s'apitoyer, le ps deviendrait une absurdité politique. S'il ne l'est pas déjà.
    Il n'aurait plus lieu d'être...

    RépondreSupprimer
  14. J'en peux plus !
    Même en diagonale, j'y arrive pas !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. On en vient à regretter Léon...

      Supprimer
    2. Oui ! Et là personne pour taper du poing sur la table !
      C'est révoltant !

      Supprimer
    3. De quoi parlez-vous, au juste ? Je sais votre goût à tous deux pour les conversations particulières mais la curiosité me ronge...

      Supprimer
    4. Que voulez-vous, Jacques, que nous fassions submergés que nous sommes par ces flots logorrhéiques ?

      Supprimer
    5. D'une nouvelle forme de pieris brassicae lechebottis.

      Supprimer
    6. Ca sent la blague privée...
      Je tâcherai de faire des messages plus courts, pas de "flots de paroles qui partent dans tous les sens". C'était bien une manière déguisée de dire que mes messages étaient longs, dîtes-moi si je me trompe, je veux pas paraître pour un narcissique.
      Bien joué la finesse jazzman, serai-je la piéride du chou? A moins que là aussi ce n'était pas moi le concerné..

      Juste, je comprends que je peux être chiant, jamais ne prends mal les critiques, et vous pouvez me dire sans gêne que mes commentaires sont longs. Et que ça part dans tous les sens. Pas de problème!

      Supprimer
    7. Vous êtes bien le concerné, en deux mots.

      Supprimer
    8. Jazzman, j'aimerais qu'on évite de s'insulter ici. Je le disais déjà dans un précédent commentaire aujourd'hui même.

      Supprimer
    9. Dans mes futurs commentaires:
      -pas plus de 3 lignes (je comprends que c'est soulant, on a l'impression de se faire bourrer le crâne)
      -j'irai à l'essentiel.
      Ca en réduira le nombre. Désolé. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas grief, j'ai pas la vocation d'un léon.

      Supprimer
    10. Merde alors, j'avais pas compris...
      Je me sentais pas bouffeur de chou.
      Merci pour la défense Jacques.

      Supprimer
  15. Depuis le temps que le socialisme ne marche pas, on aurait
    peut être pu s'en apercevoir.
    Mais non, on continue à dégoiser les mêmes âneries, la
    "justice-sociale"! C'est chouette, ça. La soi-disant droite
    a un autre vocable: "la soildarité". Cependant, c'est tout pareil, ça consiste à faire payer les autres.
    Amitiés.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Voilà qui est clair, net et sans bavure : un véritable bol d'air frais !

      Supprimer
    2. Surtout Nouratin, que l'on a tendance à moins exercer la "solidarité" envers certains que d'autres.

      Supprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.