..Toi qui entres ici, abandonne tout espoir de trouver un contenu sérieux. Ici, on dérise, on batifole, on plaisante, on ricane.

jeudi 4 avril 2013

Si on parlait de M. Cahuzac pour changer ?



Je sens que je vais choquer mais l’affaire Cahuzac me laisse de marbre. Qu’est-ce que ce Cahuzac sinon un médecin ambitieux qui a  bien su mener de front  ses affaires et une carrière politique ?  Gagner du pognon ne lui suffisait pas à moins que la politique lui ait permis d’en gagner davantage.  Ce n’est pas si rare. Après tout nos politiques, de quelque bord qu’ils soient sont rarement pauvres et toujours dévorés d’ambition. Sinon ils feraient autre chose. Et plus on monte dans leur hiérarchie plus  cette ambition s’hypertrophie.

Demander à de telles personnes d’être des modèles d’éthique  me semble aussi raisonnable que d’aller chercher des modèles de chasteté rue Blondel.  Ce que je demande à un politicien n’est pas d’être un enfant de chœur mais  de faire de la bonne politique. Si un d’entre eux arrivait à résoudre les problèmes de la France, je ne lui en voudrais pas de se récompenser grassement.

Seulement, le bon peuple les voudrait honnêtes jusqu’au trognon. Plus que lui-même quand on y réfléchit car même au sein du bon peuple il peut arriver, à un faible niveau, certes, qu’on se livre à de tristes magouilles, à de petits arrangements avec la probité. Ça s’est vu. Népotisme, tripatouillages plus ou moins bénins se retrouvent à tous les niveaux de l’échelle sociale.

Vu qu’on attend d’eux qu’ils soient exemplaires, nos bons politiciens se sont mis à faire de la probité, du désintéressement, l’alpha et l’oméga de leur crédo. Seulement, il y a partout des tartuffes qui compensent leur peu de vertu par un zèle débridé. Et ceci d’autant plus que par démagogie ils se déclarent proche du peuple. En ce moment, un parti fait de la vertu son cri de ralliement. Son panache est d’autant plus blanc qu’il reste pour l’instant éloigné de l’assiette au beurre. Qu’en sera-t-il si un jour il s’en approche ?

Je ne suis pas partisan du « tous pourris ». Je crois davantage au « tous humains », c'est-à-dire imparfaits et perméables aux tentations diverses qu’offre le pouvoir. Je crains même qu’un dirigeant trop vertueux ne soit plus dangereux qu’un moins intègre, c’est dire.

Cette affaire , si elle en éclabousse beaucoup, a son héros : M. Edwy Plenel. En voilà un honnête homme ! A quand des foules enthousiastes défilant au cri d’« Edwy président » ? Et la presse d’investigation, c’est-y  pas une belle chose ?  On s’imagine des journalistes qui investiguent à tour de bras…  Qu’est-ce que tu fais, Edwy ? Ben, j’investigue, ça se voit pas ?  On s’attend à trouver des gars de Médiapart partout ! On en trouverait un (e) couché (e) avec sa femme (ou son mari) qu’on ne s’en offusquerait pas : il faut bien qu’ils investiguent, les pauvres !

J’ai tendance à considérer  que c’est plutôt de presse à scandale politique qu'il s’agit. On reçoit des infos plus ou moins précises sur le ministre truc ou le président machin.  On creuse un peu, on glane deci delà quelques ragots, on fait monter la mayonnaise auprès d’un public toujours avide d’apprendre que leurs dirigeants sont bien pourris. Si ça marche c’est la gloire, on voit l’agaçant sourire du bel Edwy partout, si ça tourne au flop, ça s’oublie…

Une telle presse ne peut exister que grâce aux liens qui unissent presse conventionnelle et gouvernements et au peu d’entrain que police et justice mettent à enquêter sur les puissants. La nature ayant horreur du vide, certains journalistes se font une petite gloire en occupant le créneau.

On nous dit que tout ça va mettre la cabane sur le chien ! Heureusement qu’en France on n’a pas d’autres problèmes à régler !

49 commentaires:

  1. Eh bien, quand les choses se passent si mal dans la cabane, je suis pour la cabane sur le chien et même sur les chiens !

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    1. Encore faudrait-il qu'existe une alternative crédible, une autre meute... Parce que , franchement, mordu du chien ou mordu de la chienne...

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  2. On est d'accord. D'ailleurs, vous allez finir blogueur de gouvernement, à ce rythme.

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    1. Pas du tout, Nicolas. Mon désaccord avec la gauche est de fond, idéologique. Les épiphénomènes qui font l'actualité "politique" ne m'intéressent pas, c'est tout.

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    2. Oups ! J'avais oublié le smiley. Je voulais dire que par rapport à Cahuzac, vous étiez sur la même longueur d'onde que des blogueurs de gouvernement et même de types de "gauche pas du gouvernement" qui commencent enfin à prendre du recul (voir aussi mon billet vers midi sur le comptoir).

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  3. Ne pas tirer sur l'ambulance, peut être mais c'est tentant de le faire et puis il faut bien s'amuser aux dépends de faux derches moralisateurs.

    Enfin regarder les têtes déconfites des socialistes qui se dandinent en jurant la main sur le coeur qu'ils n'étaient pas au courant, vaut son pesant de cacahuètes.

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    1. Il est vrai que croire qu'ils ignoraient tout demande une certaine naïveté.

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  4. Ce que je retiens de cette affaire c'est le chiffre: 600000 euros. Une somme assez ridicule si l'on y songe, pas même le prix d'un pavillon de banlieue.
    Il doit s'agire d'une faute de frappe.

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    1. Il doit s'agir d'une faute incorrigible, d'une faute de frappe impardonnable...
      Mais pardonner est votre métier.

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  5. Mais encore une fois JE (et d'autres)fait montre d'une indulgence sans borne pour les puissants qui traitent avec morgue le petit peuple tout juste bon à raquer.

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    1. 600 000 € c'est quand même pas loin de 50 ans de smic.

      Je ne vois aucune raison de taper à bras raccourci sur les "puissants". Je n'envie ni leurs positions ni leurs avantages.

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  6. On en revient toujours à cette bonne sagesse d'Herriot qui disait que la politique est comme l'andouillette, etc. Ce qu'il voulait dire, me semble-t-il, est qu'un homme politique raisonnablement corrompu sera plus enclin aux compromis, à tenir compte des faiblesses et des manquements humains. N'oublions jamais que "L'Incorruptible" était le surnom de Robespierre. Et que Hitler, après tout, ne semblait pas particulièrement intéressé par l'argent pour lui-même.

    (Sinon, au début de votre anté-pénultième paragraphe un "de… dont il s'agit" m'a fait sévèrement grincer des dents : j'ai eu, l'espace d'une seconde, l'impression d'être chez Mme R…)

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    1. Parler de Hitler sans passer le point Godwin : bravo.

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    2. J'ai failli prendre l'exemple d'Hitler...

      (Vous ne connaisser rien a la linguistique. "De... dont" est une forme raffiné utilisée par les grans écrivain comme Erasme dans sont traiter "C'est de vous dont auquel je cause". Seulement, Erasme (de l'arabe Al Razoum, celui-là qui écris bien) sa vous passent au-dessus de la tête ! Resteez donc avec vos vieu bouquin qui n'intérressent persone (del'Arabe p'har soum,pas grand monde)et de dont vous nous bassinet. Je changerais quand même dont pour que pour que vous saissiez de me haracer même si que sept formule est inélégante)

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    3. Si vous devez continuer à écrire comme Madame R., il vous faut ceci http://blog.veronis.fr/2005/07/rcr-pourriss-vos-texte.html

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    4. Génial vôtre truc Athéna, ça marche!
      Tenez, un exemple:

      "Toutefois, et bien qu'il me rest queques fleches dans mon carquois, je crois préférable que les choses c'aretent la car bleser les jns ne m'amuse pas vraiment"

      (je vous taquine Jacques).

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    5. Merci Athéna ! Ça marche !

      @ Anton : Ont peu me t'acquis nez !

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    6. Jacques, n'écouter pas les grammar nazis au langage ampoulé*.

      *ampoulé vient de l'anglais, chic, ma poule a pondu, poum dans le nid!" " qui a donné chic-/hen, poum puis repris par les normands en 1012 chick-hen poul repris jusqu'au 16ème et abrégé ensuite en chicken pour les poulets outre-Manche et poule chez nous. Le style empoulé était celui de ceusses qui causent ou écrivent en marchant sur des œufs avec la bouche en cul de poule. L'en-poule a été nommée ainsi à cause de sa forme qui rappelle l'intérieur du vagin de la volaille. Après, comme en-poule est devenu ampoule, je ne sais plus, il faudrait que j'aille à la bibliothèque universitaire pour me replonger dans les vieux textes.
      (Toi aussi, paye ton étymologie)

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    7. Quelle imagination Suzanne !
      le professeur qui a créé ce "pourrisseur de textes" est à l'origine de l'algorithme de wikio et a un blog (même adresse) qui devrait vous intéresser Jacques en tant que linguiste

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    8. Athéna : merci, je connais Véronis !
      et pour l'imagination... oh, non alors. Je n'arrive pas à la cheville de sœur Rosa, grande prêtresse du fantastique en étymologie. Il faut la lire, pour savoir. Et apprécier.

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    9. Magnifique exemple de fausse étymologie ! Comme chacun sait le style anpoulé, ou empoulet ou plus correctement "en pou laid" vient comme tous les mots français de l'arabe via le latin après emprunt au patagon. Les croisés ramenèrent l'expression de Palestine où on traitait d'"Al ham'poulè" une personne à la fois précieuse, maladroite et prétentieuse. Par contamination, on la rapprocha du vieux français "pou" qui veut dire "coq" et que l'on retrouve dans "fier comme un pou". Se comporter "en pou laid" c'est se pavaner comme ferait un coq dont la laideur ridiculise les prétentions. Ce terme servit dès le XIIIe siècle à qualifier le style prétentieux de certains rewriters. On se rappelle la querelle qui vit s'affronter Robert-Tugdual Le Squirniec (philosophe breton)et Victor Hugo. Ce dernier ayant déclaré que le Breton écrivait "en pou laid" Robert-Tugdual lui répondit avec la verve et la finesse qui le rendirent célèbre :"Et ma main su ta goule, a va êt' ampoulée, pt'êt' ?" C'est au passage à cette polémique qu'on doit la graphie moderne de l'expression devenue adjectif.

      Au fait, ça vient cette chaîne étymologique ?

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    10. Modeste contribution:

      le style ampoulé a connu sa période la plus brillante au siècle des Lumières...

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    11. Excellent, DF !

      Jacques, Robert-Tugdual Le Squirniec n'était breton que par son père. Je sens comme une pointe de stigmatisation envers la Bretagne entière et moi avec dans l'intérêt que vous portez à ce philosophe mineur, qui, comme chacun sait, fut surtout connu pour sa fin atroce.

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    12. Et pour "ampoulé", je ne fais pas confiance à votre interprétation.
      Il faudrait demander à Didier Goux, qui saura tout, puisqu'il n'a jamais mis les pieds dans une bibliothèque et que sa connaissance est infuse.

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    13. Le taulier a un style ampoulé mais c'est normal, il bricole beaucoup et a des ampoules dans les mains.

      (Au fait, le taulier est dans twitter. Manque plus que Suzanne)(quant à Didier Goux, il y est depuis quatre ans mais a oublié son mot de passe, l'andouille).

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  7. Pour les crimes et délits sexuels, votre circonstance atténuante du "tous humains" irait jusqu'à quelle niveau de tolérance ? Les petites filles de 9 ans ? Les petits garçons de 5 ? Pour les "droits communs", c'est assez humain de détrousser une petite vieille ? Ou un banquier juif ? Un juif tout court hein, on sait jamais, il est sûrement riche ? Votre billet est à vomir ! La remarquable convergence GOUX/JEGOUN-VASELINE/VOUS-MÊME sur cette affaire est assez remarquable : solidarité d'ivrognes, c'est humain non ?

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    1. Mais dites-moi, cher Joël, ne seriez-vous pas un brin critique à mon égard ? N'ayant pas réfléchi aux âges limites à partir desquels la pédophilie doit être encouragée, je ne saurais confirmer ou infirmer vos suggestions...

      Comme les autres sujets que vous effleurez, je ne saisis pas bien le rapport que cette question entretient avec le sujet de mon billet.

      Là où vous avez raison, c'est qu'il existe bien un complot des ivrognes pour dominer le monde.

      Votre ingnignation est belle. N'hésitez pas à revenir souvent pour nous en faire profiter .

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    2. J'essaie de ne pas confondre la "complaisance" que l'on peut avoir pour les motivations des conduites humaines et leur qualification en faits délictueux au nom du droit (pas de la morale)et des limites nécessaires qu'il faut imposer à ces conduites. Sinon... et bien vous faites partie des gens qui "comprennent" la délinquance qu'elle soit acquisitive, anti-blancs, raciale etc...

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    3. J'oubliais... très, très bien la "p'tite blague" sur le complot des ivrognes.

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    4. "vous faites partie des gens qui "comprennent" la délinquance qu'elle soit acquisitive, anti-blancs, raciale etc..."

      Non, pas vraiment.

      Pour le complot, il ne s'agit pas d'une blague mais d'une réelle menace pour la Démagogie !

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  8. Malheureusement les faits sont têtus et les choses arrivent et elles marquent les esprits… Vraies, fausses exagérées, qu'importe… Les colliers de la Reine… etc souvenez)vous
    Nos copains de gauche bouffaient du Woerts il n'y a pas si longtemps, mais trouvent le Cahuzac indigeste et minimise… c'est de bonne guerre…
    Ne vous en faites pas trop, dans trois semaines on en parlera plus de Cahuzac ou alors brièvement entre un reportage sur le fouteballe et le cinéma français ennuyeux d'auteur…
    et tout le monde ira mettre son petit bulletin de vote pour les siens comme d'habitude…
    et nos enfants et leurs diplômes continuerons à se tirer à l'étrangers mais heureusement ils seront remplacés par des enfants d'on ne sais où, sans diplômes ceux là, ni logements, ni patrimoine, ni formation,k la plupart analphabètes, du moins en français. On nous explique que c'est notre chance. Soit.…
    Et les agriculteurs continuerons de partir à la retraite sans être remplacé par un jeunes ou deux
    et la campagne picarde (la mienne) continuera de s'enfoncer dans la misère, oui la misère, et la décrépitude.Et nos banlieues continuerons de banlieuiser…
    et la etc etc
    Mais vous ne pourrez pas empêcher les gens de trouver ce pays désespérant et de se foutre en rogne quand il entendent ce genre d'histoire à la télé… parce qu'il y a de quoi se foutre en rogne…
    Si j'avais vingt ans je rejoindrai mes enfants là où ils se sont tirés…

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    1. J'ai déjà quitté la France suffisamment comme ça. Je ne la quitterai à aucun prix. Fuir n'est pas une solution pour un Français.

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  9. Pour le reste je comprends qu'on tienne le matraquage effréné de Cahuzac par le PS pour ce qu'il est : un contre-feu pour ciconscrire l'incendie à sa personne. Voir chez Vaseline Juste : "le volet politique est clos reste le volet juridique"... On verra !

    C'est tellement remarquable qu'il faut y insister....

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    1. Je ne pense aucunement que le volet politique soit clos. Loin de là ! N'oublions jamais que nous sommes en Démagogie !

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  10. Pas tout à fait d'accord avec vous sur ce coup là.

    . Si JC avait été un citoyen ordinaire qui ait choisi de placer son argent gagné honnêtement, dans un paradis fiscal. Après tout, ce serait un choix personnel, et si conséquences il y a, il lui appartiendrait de les assumer.

    . JC, n'était pas un citoyen ordinaire mais un Ministre de la République et qui plus est, celui du Budget.

    Aussi, il convient de déterminer comment et pourquoi il a réuni et mis à l'écart cette somme conséquente (mais pas non plus astronomique). N'est-ce pas l'arbre qui cache la forêt ? Tout ça, l'enquête devrait le dire.... ou pas.

    Ce que je trouve le plus perturbant, c'est que J.C. était LE Ministre du Budget qui a décidé de clouer les riches au pilori pour mieux les presser et leur faire rendre le maximum de jus tout en ayant la ferme intention de se soustraire à sa propre politique.

    C'est bien plus dérangeant qu'une affaire Bettencourt par exemple où chacun sait que tous les partis politiques cherchent des financements de façon plus ou moins clean/transparente auprès de mécènes qui ne demandent pas mieux que de servir les partis qu'ils soutiennent.

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    1. Entendons nous bien : il ne s'agit aucunement de nier l'importance du fait, simplement de dénoncer ce qu'il y a de démagogique dans les exigences morales que l'on a envers les politiques.

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    2. "...simplement de dénoncer ce qu'il y a de démagogique dans les exigences morales que l'on a envers les politiques."

      ça ressemble de plus en plus aux contorsions de Valls et Moscovici dans cette affaire... Bien-sûr que nous devons avoir des exigences morales envers les politiques ! Et ce à la mesure des transgressions, des effractions dont nous les savons capables et que, dans une certaine mesure tout à fait comptée, nous attendons d'eux POUR LE BIEN COMMUN. Je cherche toujours dans cette affaire -hormis l'hypothèse d'une officine offshore de blanchiment politique pour un quarteron de quinquas- où est l'intérêt public. Je rappelle au futur bénéficiaire de soins intensifs que vous allez sûremenr être à force de telles contorsions que l'un des chefs d'inculpation de Cahuzac est : "blanchiment de perception par un membre d'une profession médicale d'avantages procurés par une entreprise dont les services ou les produits sont pris en charge par la sécurité sociale".

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  11. Plenel n'est qu'un réceptacle à ragots politiques, vous avez tout à fait raison. Quant à nos politicards, en effet, s'ils rendaient les services pour lesquels ils sont censés fonctionner, on pourrait leur pardonner leurs petites défaillances.
    En revanche, Cahuzac, c'est beaucoup plus grave, il ne s'agit pas d'une simple affaire de dissimulation de revenus. J'espère que l'enquête ira jusqu'au bout parce que dans l'affirmative les socialistes auront bien du mal à s'en relever.
    Amitiés.

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    1. C'est un rude coup, certes, mais dans notre société du spectacle un clou chasse l'autre !

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  12. Il y avait "avant JC" et il y aura "après JC".

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    1. Ça me rappelle quelque chose...

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    2. J'y pensais, également. Le croyez-vous capable de ressusciter (lui) ? En tous cas, pour la crucifixion, c'est fait -quant aux larrons, j'ignore qui jouera le rôle du mauvais et celui du bon.

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    3. La résurrection est bien plus commune chez les politiques que chez les dieux.

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    4. Oui, enfin si Fidel n'a pas totalement disparu, certains peuvent encore attendre longtemps le retour de Chavez -ou de Lénine.

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  13. "Si un d’entre eux arrivait à résoudre les problèmes de la France, je ne lui en voudrais pas de se récompenser grassement"

    Le problème est que Cahuzac est le révélateur de la cause des problèmes français.

    Pas Cahuzac lui-même ou les méchants riches, mais un système étatique français (collusion public privé) qui pousse ses citoyens plus vers la corruption que l'excellence.

    Amike

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  14. Dans toute cette histoire, on se demande ce qui est le plus grave : La faute commise par Cahuzac ? ou que les médias s'en prennent au seul membre du gouvernement qui maîtrisait son sujet ?

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