Juste avant Noël, je finis de rénover
ma cuisine,ayant repeint les éléments, changé gonds et poignées,
j'étais plutôt satisfait du résultat :
Sauf que la blancheur immaculée des
placard faisait ressortir le jaunissement des murs et du plafond. En
peu de temps, ce contraste me devint insoutenable et, n'y tenant
plus, je décidait de repeindre l'ensemble de la pièce principale
qui abrite cuisine ouverte, coin salon et coin repas.
Je ne savais pas à quoi allait
m'exposer cette décision. Un mois plus tard, je fis l'emplette de
peinture afin de repeindre dans un premier temps poutres et solives
Après lessivage, deux couches furent nécessaires pour obtenir un
blanc parfait. Vint ensuite la corvée de repeindre le plafond entre
les solives : deux couches encore avant d'atteindre le résultat
souhaité. La nouvelle blancheur rendit insupportable le jaunissement
du luminaire de la cuisine. Je lui trouvai un remplaçant :
Restaient les murs. Fallait-il changer
le papier ? Le repeindre ? J'hésitai et puis ne me sentant
pas très motivé pour me lancer dans le dépapietage ni pour me
rendre à Caen où je savais trouver un papier convenable, j'optai
pour la peinture. Afin de rompre la monotonie du blanc, je décidai
de peindre les murs latéraux de couleur gris-perle.
De fil en aiguille, l'ensemble de ces
travaux de peinture s'étala sur un mois à raison de quelques heures
quotidiennes. Je n'y ai mis la dernière main qu'hier. Voila le
travail : d'abord le coin salon :
puis les portes :
Seulement à quoi vais-je maintenant
occuper mon temps. J'ai du sable à mettre sous les pas japonais
installés dans la pelouse, mais ça ne prendra guère de temps. J'ai
également les joints de la grange à terminer. Seulement, vu le
temps dont nous bénéficions, je crains de me retrouver au chômage
technique.
Quoi qu'il arrive, je ne resterai pas
longtemps sans emploi : vers la mi-mars, je compte bien
retourner en Corrèze où de nouvelles missions m'attendent.