Comme il a fait beau et que j'ai pu repeindre les portes du garage, celle de la cabane et le portillon du jardin, comme j'ai également eu le temps d'enfin planter mes dahlias, cela mérite une petite récompense. Étant d'un naturel altruiste, ce cadeau c'est à vous que je le fais. Je ne sais si vous l'apprécierez, mais ne dit-on pas que c'est l'intention qui compte ?
Cette chanson me trotte dans la tête depuis plusieurs semaines. Plus je me la remémore, plus je la fredonne (je suis un grand fredonneur devant l'Éternel (et même en son absence)), plus je lui trouve de qualités. C'est comme un petit film, tout plein de pudeur, de délicatesse, d'élégance, d'émotion. Ça change des raps et autres musiques anglo-saxonnes qui font aujourd'hui florès. Il faut dire qu'elle date du XVIIIe siècle qui connut l'apogée d'une civilisation française révolue même s'il finit bien mal.
Mais trêve de bavardages, place à la chanson :
Rien à faire Guy Béart, ça ne passe pas.
RépondreSupprimerIl a quand même fait beaucoup pour les chansons traditionnelles françaises dans les années soixante.
Supprimerje la préfère chantée par le "Coeur Montjoie Saint Denis"
RépondreSupprimerJe ne connais pas cette version. Je ne l'ai pas trouvée sur le Net. Dommage!
SupprimerN'importe comment, celle de Béart n'est pas ma favorite...
Mon père a un disque de Béart chantant cette chanson, vive la rose, l'amour de moi... je les connaissais par cœur à une époque
RépondreSupprimerSon disque de vieilles chansons françaises eut beaucoup de succès en 1966 (ce qui ne nous rajeunit pas !).
SupprimerMerci, chouette cadeau, je l'avais oublié ce bijou!
RépondreSupprimerEt compliments aussi pour vos travaux.
Amitiés.
Heureux d'avoir réveillé ce souvenir et merci pour les encouragements !
SupprimerMerveilleuse concision !
RépondreSupprimerMerci...
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