La première surprise fut qu’au lieu de passer des heures à
trouver notre hôtel, nous y parvînmes pratiquement sans coup férir. Ce qui dans
une grande ville totalement inconnue est encourageant.
La Deuxième fut qu’au lieu d’une chambre nous nous vîmes
attribuer un appartement meublé et équipé de deux pièces où nous pouvons
cuisiner.
La troisième fut que j’appréciai beaucoup la visite du parc
Güell. Les excentricité de Gaùdi engendrent davantage la bonne humeur que l’agacement
attendu. C’est une architecture qui fait sourire.
Enfin, mais cette dernière ne fut pas bonne, c’est que les
animaux ne sont pas admis dans les transports publics et encore moins à visiter
les musées. Même dans leur sac. J’étais tenté d’expliquer au gardien qu’Elphy
préparait une thèse sur l’architecture catalane du début du XXe siècle et que
faire l’impasse sur Gaùdi nuirait considérablement
à son travail mais mon castillan approximatif et l’air borné du gardien m’en
dissuadèrent. Pas de visite du musée donc.
Prime spéciale pour mes fidèles lecteurs :
Une rosace du plafond du marché ou "salle des cent colonnes" |