Le GIEC nous annonce qu’à moins de changer incessamment notre
mode de vie nous allons assister à un réchauffement global pas piqué des
hannetons : entre autres catastrophes, Bordeaux connaîtra le climat
andalou et dans les régions du nord-ouest le climat deviendra plus humide que jamais.
Une chose m’étonne : on ne rapproche jamais
bouleversement climatique et immigration.
Les mêmes qui nous mettent en garde contre le réchauffement sont en faveur du
brassage des populations et du métissage. Comment ne pas y voir de
contradiction ?
Les populations qu’on nous conseille d’accueillir à bras et
draps ouverts viennent de pays où le climat est
généralement plus chaud que le nôtre. Le réchauffement aurait donc pour
effet que ces braves gens se sentiraient moins dépaysés et plus à leur aise
quand ils arriveraient sur notre sol. Voudrait-on, en limitant la hausse des
températures, que perdurent les souffrances que leur inflige un climat mal
adapté ? N’est-il pas du devoir d’un hôte digne de ce nom de faire tout son
possible pour que ses invités se sentent le mieux possible chez lui ?
Un minimum de cohérence exigerait donc, à moins que l’on
manque d’humanité, que l’on soit pour l’immigration de populations
exotiques ET le réchauffement ou contre les deux.
C'est le bon sens qui sourd de votre plume. Comme le réchauffement climatique semble bien irréversible,
RépondreSupprimerautant considérer l'arrivée massive de cr gens des pays chauds comme également inévitable et donc se
réjouir de cette heureuse conjonction laquelle devrait en plus entraîner notre disparition à nous autres dont
le tempérament tempéré s’accommodera mal des fortes canicules de l'avenir. Donc, cerise sur le gâteau
nous laisserons ainsi la place aux nouveaux arrivants. La vie est bien conçue, ne trouvez vous pas?
Amitiés.
Constatons que Fredi fait sienne l'immigration choisie ...
RépondreSupprimerLes employés du GIEC auraient oms si peu congiane en notre cher président s'ils se retrouvaient ai chômage pour demander toujours plus de subventions.. Leurs ancêtres 'sous prometter une déforestation totale de l'Europe avant l'an 2000.
RépondreSupprimerDe toutes façons, on n'a pas le choix. Ni pour l'un, ni pour l'autre.
RépondreSupprimerUne de mes voisines qui se plaignait du mauvais temps m'a dit: "L'hiver, je suis contre".
Ben voyons! Et que fait la police?
SupprimerLe réchauffement climatique, qui ne fait pas que des sceptiques ou des malheureux, a modifié l'alimentation au Groenland. On y cultive maintenant des salades et autres légumes frais en plein champ, et de grandes perspectives de défrichage et maraîchage s'ouvrent là-bas...
RépondreSupprimerComme quoi, le malheur des uns...
Et les réfugiés climatiques, ça existe déjà. Les pasteurs qui ont vu les pâtures se désertifier et leurs animaux sécher sur pied en savent quelque chose.
Vous avez mal regardé. C'est normal, on ne peut pas détecter toutes les conneries, il y en a trop. Le thème des migrations imposées par le changement climatique est au contraire omniprésent : puisque vous avez causé le réchauffement climatique, bande de salopards d'Occidentaux, le Tiers-Monde est bien obligé de venir chez vous, et vous allez en manger.
RépondreSupprimerNaturellement, c'est un mensonge pur et simple : il n'y a aucun rapport entre un quelconque réchauffement climatique (par ailleurs inexistant) et l'immigration de masse, mais peu importe : l'essentiel est de culpabiliser les Blancs et de leur couper sous le pied toute velléité de résistance.
Un exemple parmi d'autres, cet article du journaliste marxiste du Monde Hervé Kempf :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/12/29/le-rechauffement-cause-croissante-de-migrations_1623979_3244.html
L'imbrication des mensonges est vertigineuse, quand on y pense : l'immigration n'est pas provoquée par le réchauffement climatique, qui d'ailleurs n'existe pas. Le réchauffement climatique, s'il existait, ne serait pas provoqué par l'activité industrielle. Le CO2, s'il provoquait le réchauffement climatique, serait un gaz bénéfique et non maléfique, car c'est un puissant engrais. Le réchauffement climatique, s'il existait, serait bénéfique et non maléfique (on meurt de froid et non de chaud, les plantes poussent plus vite quand il fait chaud, on économise l'énergie quand il fait chaud, il est plus agréable de vivre dans les pays chauds que dans les pays froids).
Et maintenant, le foutage de gueule suprême : la preuve que le terre se réchauffe, c'est qu'il fait plus froid :
http://www.ctvnews.ca/sci-tech/experts-quiet-climate-change-skeptics-warming-leads-to-longer-cold-snaps-1.1727176
You can't win.
La raison est en train de déserter le monde.
Marchenoir rigolera bien quand les affamés du Sahel iront directement au-delà du cercle arctique sans passer par la case Europe.
RépondreSupprimerLes affamés du Sahel, comme vous dites, insultent leurs hôtes en Italie parce qu'ils leur donnent des nouilles à manger, au lieu de la nourriture africaine à laquelle ils sont habitués ; ils insultent leurs hôtes à Calais, parce que les repas gratuits qu'on leur offre, et qui sont plus abondants que ceux dont doivent se contenter certains Calaisiens, ne sont pas assez épicés à leur goût.
SupprimerOn me permettra de penser que cela n'est pas le comportement "d'affamés", mais d'envahisseurs arrogants qui pensent que tout leur est dû.
D'ailleurs, votre remarque est incompréhensible : où voulez-vous en venir ? Qu'essayez-vous de démontrer ?
"où voulez-vous en venir ? Qu'essayez-vous de démontrer ?"
Supprimer- Nulle part
- Rien
J'aime bien vous faire rugir, Marchenoir. (Reconnaissez que j'y arrive pas trop mal).
J'ai vu, il y a peu de temps, une exposition de photographies d' Olaf Otto Becker. On pouvait apprécier d'après celles-ci l'impact de la fonte de la banquise. On pouvait admirer les nouvelles cultures maraîchères des Groenlandais. On voyait des familles heureuses de produire des nouveaux légumes, d'en vendre, etc. C'était donc un point positif du réchauffement climatique [qui n'existe pas, je ne veux pas vous contrarier davantage].
Quand j'ai lu votre commentaire, j'ai imaginé la scène suivante: des charters bourrés d'Africains avec des bonnets rigolos passant au-dessus du vieux poirier du jardin de votre maison (je vous imagine dans une maison avec un jardin, allez savoir pourquoi) et vous faisant un petit coucou. Votre voisin, qui vote pour le PS depuis qu'il est né, porte un Tee-shirt "I fuck Jesus" quand il taille la haie mitoyenne et parsème sa pelouse de nains de jardins représentant des curés obscènes , répond au coucou des Africains (il vole bien bas, cet avion, quand même) et gémit bien fort, en se tournant dans votre direction: "tous ces jeunes hommes vigoureux ne viendront pas chez nous, ces chances pour la France que la France rancie persécute et discrimine, hélas, vont partir faire le bonheur d'autres peuples qui ont mieux compris que nous les enjeux d'une immigration choisie et l'irréfragable réalité du réchauffement climatique, hélas."
Ah, vous êtes donc un troll, Suzanne. Vous écrivez pour ne rien dire, et vous pensez que lorsque quelqu'un vous fait le crédit de vous répondre en supposant que vous êtes un être doué de raison, il a perdu à un jeu dont vous êtes seule à imaginer les règles.
SupprimerDécidément, il y a des gens sérieusement atteints, dans spéhi.
Par moments vous avez vraiment sale caractère Robert. Comprendre le second degré ça fait aussi parti de l'intelligence. On vous apprend pas ça au Mossad ?
SupprimerMais bien sûr, Buck. C'est moi qu'on attaque sans queue ni tête, et c'est moi qui ai mauvais caractère.
SupprimerLe "second degré" est une invention des mauvais coucheurs dans votre genre pour ne pas avoir à assumer la responsabilité de leurs propos. Je connais la plaisanterie de bon aloi, l'humour ou l'ironie. Je sais faire la différence, vous êtes bien gentil.
Merci de démontrer de façon éclatante, à votre manière, ce qu'est le "second degré" : je suppose qu'invoquer le Mossad à propos d'une discussion sérieuse contestant la thèse du réchauffement climatique, c'est censé être spirituel ? Ce n'est pas tenter de foutre la merde ? Ce n'est pas un comportement de troll ?
Quand on prétend être drôle, il faut commencer par l'être, et l'être à propos.
Maintenant, si vous voulez nous expliquer en quoi Hervé Kempf a raison, vous avez le champ libre. Si vous voulez tenter de justifier l'immigration de masse au moyen de la météorologie, allez-y : on vous écoute. Mais c'est évidemment un peu plus difficile que de faire ce que vous appelez, et d'innombrables trolls inconséquents avec vous dès que leurs agissement sont contestés, du "second degré".
Je ne sais pas si je suis drôle, mais vous concernant il n'y a aucun doute.
SupprimerFaire la leçon et tancer les uns et les autres comme des gamins, alors qu'on écrit des commentaires sur un blog, qui de plus se veut lui-même gentiment ironique dans la plupart de ses billets, c'est juste pathétique.
Mais bon je suppose que le second degré et la légèreté sont des choses trop françaises. Les français ce peuple d'esclaves, de soumis indignes du saint libéralisme et tout juste bons à être de sales socialos.
M'étonne pas que vous aimiez la Suisse alémanique, tiens.
Mais c'est vous qui vous comportez comme un sale gosse qui fout la merde, Buck. C'est vous qui me faites la leçon, en l'occurrence. Personne ne vous a demandé l'heure qu'il était.
SupprimerExcusez-moi d'essayer parfois d'être sérieux, de partager quelques informations et d'essayer de réfléchir tout haut. C'est aussi à ça que servent les blogs, avez-vous remarqué ? Y compris celui-ci, au cas où ça vous aurait échappé.
Si ça vous emmerde, personne ne vous a sonné et personne ne vous oblige à me lire. Si un texte de huit lignes sur un sujet sérieux vous fatigue, contentez-vous de faire des blagues pas drôles dans votre coin, personne n'ira vous chercher des noises.
Au demeurant, "le second degré et la légèreté", comme vous dites, je passe mon temps à les pratiquer aussi, figurez-vous, comme chacun peut le constater ici. Quelqu'un vous a chargé de faire la police sur ce blog ? De faire respecter des quotas de commentaires rigolos ?
Ras le cul des petits flics franchouillards ! Vous êtes bien le comble de l'anti-libéral, tiens. Un peu comme le paysan qui n'a pas envie de faire de l'élevage extensif, mais qui ne se contente pas de ça : il faut encore qu'il interdise aux autres d'en faire ! Lui est trop con ou trop paresseux pour créer un élevage de mille vaches, par conséquent il ne faut surtout pas que quelqu'un d'autre le fasse !
Putain de mesquinerie française ! Après, on s'étonne que le pays soit en récession, que le chômage de masse dure depuis quarante ans et que les Français se bourrent d'anti-dépresseurs !
Oh, Robert, allez... Ce n'était pas méchant.
RépondreSupprimer"Décidément, il y a des gens sérieusement atteints, dans spéhi." Ha ha ha ! (smiley)
(Tout ça ne me dit pas si Marchenoir a un jardin avec des poiriers).
RépondreSupprimerLà, vous allez troll loin, Suzanne. Mais c'est bien vu : un troll sachant troller doit savoir troller sans troller trop loin.
Supprimer@ Jacques : en lisant votre billet, j'ai imaginé que le Bordeaux était amené à devenir un vulgaire tinto. Même si Bordeaux produit quelques piquettes, avouez que ce serait dommage !
Allons ! Allons ! On se calme et on revient plus sérieusement sur le premier commentaire de Fredi M, lequel si je comprends bien volontiers fait un lien entre réchauffement climatique et nouvelles copulations !...
RépondreSupprimerL'incompréhension de certains devant le manque de reconnaissance de "méchants" immigrés est légitime mais principalement de leur fait : Ils confondent l'ensemble des immigrés pour les passagers de l'Exodus "chassés de leur terre" comme dirait le ministre de l'intérieur.
RépondreSupprimerEn réalité, il s'agit de migrants économiques, dans leur pleine capacité, autant volontaires d'arriver à leurs fins que déterminés. Ils ont la hargne comme l'ont eu par exemples les migrants vers le Nouveau Monde. Les locaux s'en souviennent encore...
Amike
NB: Antoine de Maximy peut être qualifié de migrant gentil modèle. Mais si on le multiplie par mille, quid ?
Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre !
SupprimerEt je pense pouvoir parler en connaissance de cause puisqu'actuellement au Burkina-Faso après avoir connu le Cameroun, le Canada, le Maroc et la Belgique ...
En plein coup d'Etat? Que faites-vous du principe de précaution? Et que faites-vous là-bas au juste? Vous retapez les populations locales pour leur permettre ensuite de venir chez nous en pleine santé?
SupprimerPardon, mais alors là je ne vois pas mais pas du tout le rapport...??? je reste coite... Peut être, plus simplement que les gens qui s'intéressent au climat se contrefichent de ces histoires d'immigration et inversement. Si c'est le cas, placez-moi dans le premier groupe.
RépondreSupprimerJe vois que l'on n'a pas besoin de moi pour commenter à tour de bras ! Ça tombe bien, je ne suis pas d'humeur répondeuse aujourd'hui. Merci à tous et toutes pour vos précieuses contributions...
RépondreSupprimer"...Des yeux que pour elle...", des yeux de biche?
RépondreSupprimer