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lundi 5 mars 2012

Les désarrois du vieil électeur réac




Le 6 mai 2007, j’ai eu mon père et ma fille au téléphone. Ma fille avant 20 heures pour cause d’Internet, vu que,  via les sites anglais et belges, nous avions les résultats. Nous trouvâmes réjouissants d’apprendre que certains de gôche semblaient se diriger vers la rue de Solferino comme pour y fêter  leur victoire. N’étaient-ils pas connectés ? Mon père m’appela plus tard. Nous étions heureux. Trois générations réunies dans la joie de voir la menace de gôche éloignée pour 5 ans, au moins.

Ce que j’appréciai dans cette victoire, c’était la réunion de toutes les sensibilités de droite autour d’un homme qui avait parlé de nettoyer au Kärcher la racaille. Il en avait parlé. Presque 5 ans plus tard il est  difficile de dire que c’est chose faite. Le président-candidat tente de ressusciter cette union des droites en évoquant, lui-même ou par le truchement de son ministre de l’intérieur, les thèmes de l’immigration et/ou de l’identité nationale. Seulement, peut-on le croire ?  Pourquoi  tiendrait-il cette fois les promesses oubliées de 2005 ?

Entre temps, s’est déchaînée contre l’élu du 6 mai la plus acharnée et haineuse campagne de dénigrement qu’on ait jamais orchestrée en France.   La gôche, incapable d’accepter la défaite de sa pitoyable candidate et relayée par ses séides journaleux l’attaqua sur tout. Son physique, le Fouquet’s, le yacht de Bolloré, sa nouvelle épouse, rien ne fut trop bas, rien ne fut suffisamment insignifiant pour être négligé. On le traita impunément de dément, de nain, d’anormal.  Et ça marcha. Une majorité de nos concitoyens se réunit rapidement dans la détestation du président.  Au point que cette majorité disparate semble prête à élire un personnage aussi falot que Hollande tout en déclarant majoritairement n’attendre aucune amélioration de sa part.

On risque donc de voir un candidat élu non sur son programme (dont tout le monde, mis à part quelques militants, se fout comme de l’an quarante et surtout n’attend rien), mais par détestation du sortant. 

On sait que le socialisme, ce sera toujours plus de déficit, de démagogie, d’assistanat, de xénophilie, de lois « sociétales » minant aussi sûrement  que systématiquement les bases de notre société, d’oppression politiquement correcte. Peut-on, simplement pour  lui faire barrage, voter pour quelqu’un  en qui, pour cause de promesses non tenues, on n’a plus confiance ?

D’un autre côté, peut-on laisser voguer la galère, dans l’espoir que de l'inévitable désillusion qu’engendrera  la gôche fera émerger dans cinq ans, une véritable majorité de droite ?

Il y a bien un autre parti dont certains thèmes (immigration, sécurité, préférence nationale) seraient tentants. A part que ce parti, quoi qu’en disent les autres, est plus populiste que réellement de droite. Il semble plus occupé à faire feu de tout mécontentement qu’à proposer des politiques cohérentes et crédibles. D’autre part, il n’a aucune chance de parvenir au pouvoir.

Entre un  vote anti-socialiste désenchanté  et un vote inutile pour un parti ramasse-tout, l’électeur de drouâte que je suis ne sait plus que choisir.

40 commentaires:

  1. Personnellement, je me sens de moins en moins capable de choisir entre Sarkozy et Hollande. Quant à Marine Le Pen, il me semble qu'elle se ridiculise un peu davantage chaque jour. La tentation du “rester chez soi” devient forte…

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    1. Elle le devient de plus en plus pour moi également. Quoique choisir Hollande me paraisse totalement inimaginable.

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  2. Vous aurez bien mérité ce qui va vous arriver, et je me retiens de préciser ma pensée pour ne pas choquer Mildred.

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    1. Certes, mais que va-t-il m'arriver au juste et de quelle manière l'aurai-je mérité ?

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    2. Il va vous arriver ce que vous faites aux mouches au lieu de décider virilement de voter pour la seule blonde dont vous pourriez attendre quelque chose.

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    3. Ah, voilà qui est clair ! Merci !

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  3. "Entre temps, s’est déchaînée contre l’élu du 6 mai la plus acharnée et haineuse campagne de dénigrement qu’on ait jamais orchestrée en France."

    Jamais ? Vous êtes certain ? Jamais ? Dans toute l'Histoire de France ? Je pense que vous vous trompez assez lourdement sur ce point. Méga-lol tout de même.

    "On sait que le socialisme, ce sera toujours plus de déficit, de démagogie, d’assistanat, de xénophilie, de lois « sociétales » minant aussi sûrement que systématiquement les bases de notre société, d’oppression politiquement correcte."

    Tout cela est bien sûr faux. Le dernier gouvernement de gauche en France a fait reculer le chômage, a favorisé la croissance, a réduit les déficits et j'en passe. Bref, vous êtes de droite. Vous êtes habitué à la caricature et au mensonge. Cela dit, plus le temps passe, plus je sens comme Didier qu'il est possible que je reste à la maison. Parce que Hollande n'est pas assez à gauche et que Mélenchon, l'équivalent alternatif pour les gens de gauches de ce que Le Pen représente pour les dedrouâtes, il se ridiculise aussi un peu plus chaque jour...

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    1. Je parlais de la Ve république, seule période de référence valable lorsqu'il s'agit d'un président élu au suffrage universel direct. Il est certain que l'époque de la Fronde (Mazarinades, etc.) et de la "Grande Révolution" de 1789 ne furent pas tendres pour leurs dirigeants mais ça n'a rien à voir.


      "Le dernier gouvernement de gauche en France a fait reculer le chômage, a favorisé la croissance, a réduit les déficits et j'en passe."

      Vous en passez même trop : il a jugulé l'immigration, aboli l'insécurité, établi le bonheur. Comme vous êtes de gauche, vous êtes enclin à la modestie et à la rigueur.

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  4. Par contre, pour les "lois sociétales", je suis assez d'accord. Tout arrive. C'est d'ailleurs surtout ce qui me rebute chez Hollande. Le mariage homo, l'euthanasie, ça fait un peu beaucoup pour le papiste, pourtant progressiste, que je suis. Cela dit, à droite, vu tout ce qu'ils ont fait pour faciliter les divorces (dispositifs dont a directement bénéficié le Président), on ne peut pas franchement les créditer de quoi que ce soit sur le sujet.

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    1. Renvoyer dos-à-dos la droite et la gauche sur ces sujets me paraît un peu léger. D'un autre côté, quoi qu'en pense (ou feigne d'en penser) la gauche, il n'y a pas eu pas eu plus de gouvernement réellement à droite qu'il n'y en a eu réellement à gauche ces dernières décennies (mise à part les deux premières années (catastrophiques) de la première présidence Mitterrand, erreur rapidement corrigée).

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    2. Prenons l'exemple du mariage, Jacques. Je pars du principe que ce ne sont pas les homos qui le menacent réellement, mais plutôt ce que les hétéros en ont fait, et à ce petit jeu là, je vous assure que le pacs a fait moins de mal que les législations - de droite, très souvent - favorisant les modalités liées au divorce. Par ailleurs, il me semble qu'on oublie un peu vite que le gouvernement Giscard fut un grand pourvoyeur de lois sociétales.

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    3. Donc, oui, sur ces questions, je les renvoie parfaitement dos à dos. Frères de modernité !

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    4. Disons que Giscard avait bien des caractéristiques de gôche : son septennat fut le seul où les "inégalités" (du moins celles qui intéressent la gôche) reculèrent. Il fit, dans le domaine sociétal, la politique de ceux qui ne l'avaient pas élu.

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    5. Il n'en était pas moins de droite.

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  5. J'ai la solution. Voter massivement pour Hollande au premier tour, histoire de forcer Sarkozy, knock-out, à s'allier avec le FN au second tour, chose dont je le crois capable, en guise de sauve-qui-peut. Au second tour, à droite toute !

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    1. Vous êtes un optimiste, Ygor !

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    2. Le rejet du FN est trop fort : ça ne marchera pas.

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    3. D'accord avec Didier. Ca ne se fera pas sur cette élection.
      La seule chance est un éclatement de l'UMP et une recomposition de la droite incluant le FN.
      Pour cela la défaite la plus cinglante possible de Sarkozy à la présidentielle serait la bienvenue, et surtout une sévère défaite de l'UMP aux législatives suivantes.
      Donc au premier tour MLP, et au second abstention.
      De toutes façons ça sera flamby.

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  6. Dorham exige des diptères de gôche, Yanka montre qu'on peut y arriver sans les mains, Goux les préfère comme appât pour la pêche du dimanche...

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  7. On peut tout mettre sur le dos des média et de la goche, mais il ne faut pas oublier les média Fan Club du début et puis la personnalité du Président.

    Nicolas Sarkozy porte certainement une grande part de responsabilité dans la réaction épidermique du public.. non?

    La situation de rejet seraient-elle la même avec un président Fillon, ou Juppé? (même si les média et la gôche les avaient descendus)?

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    1. Je ne partage absolument pas votre avis. Rien dans ses actions ni dans ses attitudes ne m'a gêné ni choqué. Les médias ont monté en épingle toutes sortes de non-événements et le bon peuple, toujours avide d'affirmer sa bêtise, lui a emboité le pas. Il est possible que si l'on avait élu un bout de bois, il aurait peut-être déclenché moins d'animosité. Quoique la gôche est si haineuse qu'elle serait capable d'exécrer un bout de bois qu'elle jugerait à droite.

      Comment, sinon, expliquez-vous que quand le candidat normal, qui n'aime pas les riches, s'envoie une petite salade à 140 € (il n'avait qu'une petite faim) dans un restaurant autrement plus luxueux que le Fouquet's ça ne gêne pas nos vertueux journaleux au point de n'en pas même parler ?

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  8. LG réclame un supplément de vaseline, mais il n'a pas évalué l'impact budgétaire de sa mesure.

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  9. Je n'ai pas tout lu parce que j'ai l'impression que pas mal de dedrouate sont carrément tombés sur la tête. Jusques et y compris jazzman, ce qui me désole profondément.
    Quant à moi ayant bien réfléchi, il va de soi qu'il me semble qu'il n'y a qu'une solution raisonnable : c'est voter Sarkozy au premier ET au second tour.
    La première raison est qu'il a les couilles qu'il faut.
    La deuxième est qu'il n'aura pas à penser à sa réélection.
    La troisième est que ce président de sang-mêlé voudra laisser une trace dans l'Histoire. Du coup il s'autorisera toutes les transgressions et réformes dont il estimera que le pays a besoin, en passant par-dessus les syndicats et tous ceux qui se mettront en travers de son passage.
    J'espère que je vous ai tous convaincus, espèce de mous du genou !

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    1. J'hésite toujours mais j'admire cependant votre conviction. J'aimerais que vous ayez raison...

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    2. Mais pour que j'aie une chance d'avoir raison, encore faut-il que Sarkozy soit élu !
      Vous savez ce qu'il vous reste à faire.

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    3. Je suis désolé, Mildred, mais je dois dire que je ne suis pas entièrement convaincu. si les gens de notre sensibilité politique continuent de voter pour l'UMP, même lorsque son représentant trahit ses promesses et se fiche ouvertement de nous en pratiquant l'ouverture à gauche mais pas à droite, pourquoi Sarko ou ses successeurs se soucieraient-ils de nous à l'avenir ? Ils pourraient tranquillement assumer, à raison, que nos voix leur sont acquises et qu'ils n'ont aucun effort à faire pour satisfaire nos aspirations. Je ne me vois pas voter Flamby, mais voter Sarko dès le premier tour, c'est beaucoup demander.

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    4. J'ai tout de même l'impression que nous avançons : vous n'êtes pas "entièrement convaincu", ce qui sous-entend que vous l'êtes partiellement.
      Si je vote Sarkozy c'est tout simplement parce que, de mon point de vue, c'est le "moins pire". Comme vous je ne me vois pas voter pour Hollande, ce candidat par défaut qu'on nous fourgue après nous avoir matraqués avec DSK.
      Je ne supporte pas l'idée de la Restauration des éléphants.
      Or sachez bien que la seule chance que ces gens-là aient de mettre la main sur l'état, c'est que des personnes comme vous et moi restent à la maison le jour du vote.
      Donc si vous voulez m'en croire, sortez et votez. Essayez le vote Marine si vous voulez, mais votez.
      Le vote blanc ou l'abstention est la pire des solutions puisqu'ils feront automatiquement monter le pourcentage des votes Hollande.
      Je les vois déjà tous, riant sous cape, en pensant à ces gens de droite qui vont déserter en rase campagne.

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  10. Dans cette vidéo J. Attali présente comme normal que des banques privées aient assez de capitaux pour prêter aux états. Elles ont certainement gagné cet argent en travaillant très honnêtement.
    La dette française vaut environ 1'500 milliards, celle des USA 4'500 milliards (de dollars).
    Si vous ne réalisez pas que tant Hollande que Sarkozy vous prennent pour des cons, je ne peux rien pour vous.

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    1. jazzman, jazzman, j'ai bien peur, qu'une fois de plus, vous ne soyez en plein délire !
      Comment vais-je faire pour vous pardonner ?

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    2. Je ne me fais aucun soucis, les femmes peuvent tout pardonner, c'est bien ça le problème.

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  11. C'est tout vu pour moi. Je vote utile.
    Si Utile n'est pas présente au premier tour, je reste au chaud chez moi.
    Qu'ils aillent tous se faire empapaouter au maroc ou ailleurs.

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  12. "Le rejet du FN est trop fort : ça ne marchera pas."
    Chez les journaleux et les politiques, pas chez les électeurs.
    On l'a encore vu ce soir.
    C'est bien pour ça qu'il est fort possible qu'elle n'ait pas ses signatures.

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  13. D'accord avec le commentaire de Mat:

    Mat Mar 5, 2012 12:53 PM

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  14. D'accord avec Jazzman aussi.
    Bon, j'arrête.

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  15. Je ne me déplacerais pas, ni pour la Marine ni pour personne d' autres.

    Seul le poste d'être calife à la place les intéresse.

    Ce qui est drôle, c'est que mon épouse née au Sénégal, est plus sérieuse que moi.Elle ne s'est jamais abstenue et je ne pense pas que le "rosetoutmou" aura son bulletin et si le petit Nicolas l' obtient ce sera par défaut.

    Mes deux filles sont en âge de voter, je ne leurs prodigue aucun conseil, elle sont assez grande pour se faire une opinion.

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  16. Je suis rarement d'accord avec Marchenoir, mais vous devriez tous lire son commentaire chez Goux.

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  17. Idem, je remets ici ce que j'ai dit là-bas :
    "Si Marine est empêchée, je prendrai un bulletin blanc et j'écrirai son nom.
    Ca sera quand même un vote anti-immigration et préventif anti-émigration."

    J'ajoute que ce serait une façon de leur faire savoir qu'on n'est pas d'accord sur le fait qu'elle ait été bloquée, malgré ses millions d'intentions de vote.

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  18. Les lois "sociétales" - certes forts prisées par la gauche - ne sont qu'une partie des lois "socialétales", dont la gauche n'a certainement pas le monopole.

    A qui doit-on, par exemple, le regroupement familial ? Le traité de Lisbonne ?

    Par conséquent, je ne vois de sens ni dans le vote pour Hollande, ni dans le vote pour Sarkozy, ni dans l'abstention. A moins d'être friand de plats réchauffés depuis 40 ans.

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