..Toi qui entres ici, abandonne tout espoir de trouver un contenu sérieux. Ici, on dérise, on batifole, on plaisante, on ricane.

vendredi 5 mai 2017

Blanc, c'est blanc...

Me voici de retour en grise Normandie. Le joli mois de mai a des airs de triste novembre. Vivement les saints de glace que ça se réchauffe un peu ! Avec nostalgie je constate qu'en Corrèze j'aurais aujourd'hui 10° de plus. Mais il fallait que je rentre pour m'occuper un peu du jardin, lequel n'a pas beaucoup bougé si on excepte les dégâts du gel et de la sécheresse.

Quinze jours de dur travail ont cependant porté leur fruit. J'ai mis à profit ce séjour pour terminer la rénovation de deux des quatre pièces (en comptant la cuisine) que compte mon palais. Les fenêtres étant de taille réduite, les embrasures profondes, pour éviter que le logis soit sombre, j'ai choisi des papiers blancs tandis que les boiseries seraient gris-clair le tout contrastant avec des meubles en partie noirs. Et voici le résultat :
Cheminée

Coin salon           



La première chambre harmonise blanc, gris et noir :





 

Peindre en blanc les fenêtres à petits carreaux brun-sombre à l'origine n'est pas une sinécure Il aura fallu 3 couches pour obtenir un blanc parfait mais le résultat compense l'effort : 



Restent la 2e chambre et la cuisine à redécorer, l'abri de jardin à monter, la porte du garage à changer et à peindre, quelques peintures extérieures à faire, installer des étagères dans le garage, construire un passage couvert entre les sanitaires et le salon. Et probablement bien d'autres choses. Ce n'est pas demain que je manquerai d'ouvrage !

jeudi 4 mai 2017

Qu'attendre d'un président ?

J'avoue que les réactions d'une partie de mes amis Facebook après le débat d'hier soir me laissent assez pantois. Comme je l'avais été en constatant certains revirements vis-à-vis de M. Fillon au début des « affaires ». On en voit qui, ayant placé leur foi et leur espérance en Mme Le Pen, tiennent des propos manquant de charité à son égard. Je n'en ferai pas la liste. En gros, elle n'est pas à la hauteur et ne débat pas bien, et un débat, c'est important, crucial, fondamental ! Qu'est-ce qui a plus d'importance qu'un débat ? La réponse est simple: rien. Un chef d'état, ça doit être fort en débat, vu que la culture, l'avenir, le bonheur, la prospérité et pour tout dire le salut d'une nation ne sauraient être pérennes que grâce aux qualités de débatteurs de ses dirigeants.

Le débat se doit d'être feutré, fouillé, documenté. Les adversaires doivent avoir travaillé leurs dossiers à fond. On leur pose la question du prix d'une paire de bretelles chez Lidl ? Sans un moment d'hésitation, ils doivent le donner. La conversation roule-t-elle sur le taux de remboursement des sabots orthopédiques en caoutchouc ? Le bon débatteur devra, après un exposé clair et complet des variations que ce taux a pu connaître et suite à une étude prospective menée par d'incontestables spécialistes (prix Nobel de préférence), annoncer le taux susceptible d'apporter aux Français, et par conséquent au monde entier qui a les yeux rivés sur nous et nous prend pour modèle, entière satisfaction sur ce sujet capital. En fait, un candidat à la magistrature suprême se doit d'être un omni-spécialiste auquel rien n'échappe du plus petit détail aux plus fondamentaux enjeux. Un super technocrate, un puits de culture dont le cœur n'a d'égal que la raison, en somme. S'il sait en plus planter un clou et faire bouger ses oreilles, on atteint la perfection.

Eh bien, figurez-vous, chers amis, que ce n'est pas ma vision des choses. C'est peut-être celle des journaleux et autres spécialistes en politique et de leurs féaux suiveurs mais ce n'est aucunement la mienne. Un chef d’État ou simplement un leader doit définir les grandes orientations qui selon lui (ou elle) doivent être celles de la nation ainsi que les priorités de son action. La mise en œuvre de ceux-ci, les détails techniques, il laisse ça aux larbins (également nommés hauts fonctionnaires), ils sont là pour ça. On ne devrait choisir de soutenir un candidat qu'en fonction de ses prises de position sur les sujets qui nous semblent cruciaux. Le reste, c'est du baratin : il faut une ingénuité surdimensionnée pour y attacher la moindre importance. Les chiffres « sérieux » que sort de son chapeau un énarque digne de ce nom quittent rarement le domaine du projet voire de la promesse pour celui de la réalité. Et puis si l'ENA forme 80 ou 90 élèves français par an et que ceux-ci restent actifs une quarantaine d'année, ça nous en fait quelques milliers. Y a-t-il autant de leaders susceptibles d'entraîner le pays vers un avenir meilleur ou simplement moins catastrophique ? J'en doute.

Laissons donc l'administration aux administrateurs et aux leaders le soin de définir les objectifs à atteindre ainsi les vaches seront bien gardées et les veaux s'en porteront mieux.

lundi 24 avril 2017

Le lézard des murailles (Podarcis muralis)

Non seulement cette bête est une grosse feignasse mais sa compagnie procure peu d'avantages. Contrairement au chien, si vous jetez un bâton, les chances pour qu'il vous le rapporte sont nulles. De même ne comptez pas sur lui pour vous faire cadeau de souris mortes comme le chat. Totalement dépourvu d'intelligence, on ne peut pas dire qu'il ne lui manque que la parole vu qu'il lui en manque beaucoup d'autres et que s'il s'exprimait ce serait probablement pour débiter des platitudes sur le temps qu'il fait et se plaindre du manque de soleil.

Car le lézard aime le soleil. Au point qu'entre automne et printemps, période ou faute de réellement hiberner, il ralentit son activité (comme si le reste du temps il se montrait quelque peu actif !) seul un beau soleil le fera sortir. C'est ainsi qu'il a donné naissance au verbe « lézarder » qui signifie s’exposer de façon immobile au soleil, paresser. « Activité » que pratiquent certains humains qui n'ont pas de maison à rénover en Corrèze.

En plus d'être cossard, le lézard est pleutre, pire même : faible avec les forts, cruel avec les faibles. C'est la conclusion que je tire de l'observation de celui qui habite un trou dans ma maison, pas celle de Normandie où seul un de ces reptiles se serait aventuré en 1873 et y serait mort noyé par les pluies d'un beau jour de juillet. Je tiens à souligner que, bien qu'il occupe un logement chez moi, il ne me paye pas plus de loyer qu'il ne participe au règlement de ma taxe d'habitation, ce qui serait la moindre des choses. Mais je digresse. Ce squatter passe donc le plus clair de son temps à suivre le parcours du soleil. Le matin, il se fait bronzer à la sortie de son trou, plus tard, il s'aventure à une bonne vingtaine de centimètres de son repaire avec de continuer à jouir des rayons. Dès qu'il m'aperçoit, il court se cacher dans son antre. Comme si j'allais l'agresser ! C'est donc un trouillard. Seulement, quand il s'agit de s'en prendre à plus petit que soi, là, il y a du monde. Que les âmes sensibles me pardonnent mais la scène qui suit est véridique dans toute son horreur.

Un jour que je nettoyais mon trottoir, je balaya par inadvertance un petit coléoptère, genre mini hanneton. Mon coup de balai l'ayant mis sur le dos, je le remis sur pattes, repris mon labeur et lui son chemin. C'est alors que je vis une scène hallucinante:quittant comme une flèche son lieu d'oisiveté, le lézard saisit dans sa gueule le pauvre insecte et, aussi prestement qu'il était venu, partit le dévorer dans son antre. Certains objecteront qu'il faut bien qu'il mange quelque chose. Mais à l'instar des meilleurs et plus évolués humains ne pourrait-il pas se contenter de grains et de végétaux ? Imaginez la souffrance d'une araignée gobée vivante sans autre procès !

De plus, il se reproduit. Après un accouplement printanier, la femelle pond 2 à 9 œufs qu'elle dépose dans un trou. Quatre à 11 semaines plus tard en sortent de petits hooligans qui, si les couleuvres n'y veillaient, finiraient par nous envahir. Certains penseront que se faire manger tout cru par une couleuvre n'est, pour le lézard, pas plus enviable sort que celui du coléoptère. Ma réponse est claire : cépapareil, padamalgam !

mercredi 19 avril 2017

(Encore une) Aventure !

Ma vie, mes lecteurs réguliers le savent bien, est une longue série d'aventures captivantes. Pas plus tard qu'hier matin, je me rendis à la zone artisanale où, selon le bulletin municipal devait s'ouvrir en avril un magasin Gamm Vert. Le maire, bien que sympathique, étant qualifié de « divers gauche » vous comprendrez ma méfiance, ces gens-là c'est mensonges et compagnie. J'allai donc vérifier l'ouverture dudit magasin et éventuellement m'y procurer des lames de cutter. Je repérai facilement l'établissement parmi les 5 bâtiments de la zone et pus constater qu'il était bien ouvert. Je passai donc le portail et pris un virage pour me garer. C'est alors que je ressentis un choc violent sur mes roues avant suivi d'un inquiétant raclement sur le bas de caisse. J'eus beau regarder devant moi, je ne voyais rien d'anormal sinon un homme lançant vers moi des regards étonnés. Je descendis de voiture et compris vite la cause de ces surprises : ma voiture se trouvait en équilibre sur la bordure supérieure d'une sorte de terre-plein d'un mètre de large en forte pente.

Le personnel du magasin vint constater l'ampleur des dégâts. Je leur demandai s'ils pourraient me pousser (les roues avant ne touchant pas le sol, aucune manœuvre n'était possible). Pousser, ils ne souhaitaient mais me tirer, ils voulaient bien essayer à l'aide du Fenwick à condition que mon break soit muni d'un crochet de remorquage. C'était le cas, et une fois trouvé puis vissé ledit crochet la manœuvre allait pouvoir commencer. C'est alors que le responsable du magasin me demanda s'il pouvait prendre ma voiture en photo. Un tant soit peu vexé de me trouver dans cette ridicule situation, je lui demandai s'il tenait vraiment à immortaliser ma honte. Il me répondit que ce n'était pas la question mais qu'il voulait l'envoyer à ses chefs car il semblait qu'il existât un problème avec ce terre plein. Regardant les choses de plus près, je pus constater qu'en effet problème il devait y avoir vu le nombre de traces de pneus sur la bordure et les ornières qui labouraient la terre. Je n'étais donc pas le seul à m'y être aventuré. Ce qui est toujours rassurant car tant qu'à être abruti autant avoir de la compagnie.


Le Fenwick remplit à merveille sa fonction et, apparemment, la voiture n'avait aucun dégât notable. J'achetai donc mes lames et repartis vers de nouvelles et palpitantes aventures, à savoir une visite à l'épicerie et à la boulangerie...

mardi 18 avril 2017

Columbo

L'inspecteur (alias Lieutenant) Columbo fut d'abord des années 68 à 78, le héros d'une série diffusée dans le monde entier pour le plus grand bonheur des téléspectateurs. Une séquelle suivit (que pouvait-elle faire d'autre?) 10 à 15 ans plus tard. En ce moment, on la rediffuse ce qui n'est pas pour me déplaire et me donner matière à réflexion.

Le scénario était simple et répétitif : dans un premier temps, on vous montrait un (ou une, mais plutôt un) personnage plein aux as se séparer, pour des raisons qui lui appartenaient, d'une personne encombrante. Pour ce faire, il (ou elle , mais surtout il) faisait appel à des trésors d'imagination qui auraient dû rendre son crime parfait. Hélas, survenait un petit policier (avec imper et 403 décapotable) qui commençait à poser au coupable d'innocentes questions dont il blâmait lui-même la stupidité avant de l’obséder par d'innombrables retours, des questions qui se faisaient embarrassantes, avant que, réduit aux abois ou pris en flagrant délit, le coupable ne se trouve confondu. Ce qui était bien triste : tant d'imagination et d'efforts pour se retrouver fait comme un rat !

D'un autre côté, ces « génies »du crime commettaient une grave erreur d'analyse. Le vrai problème n'était pas d'imaginer une (presque) parfaite mise en scène visant à les placer hors de toute suspicion mais le fait que l'enquête fût confiée à ce fouille-merde de Columbo. Plutôt que de se triturer les méninges afin d'élaborer des scénarios complexes que Columbo se ferait un plaisir de démonter, un criminel sérieux se serait préoccupé de savoir si leur crime se déroulait dans un endroit où ce diabolique Italien sévissait. On ne m'ôtera pas de l'idée qu'à force d'envoyer de très riches citoyens derrière les barreaux, le lieutenant avait acquis une certaine célébrité, la manière infaillible qu'il avait d'éventer les plus parfaits complots étant devenue le secret de Polichinelle. Du coup, au lieu de se concentrer sur une manière sophistiquée de se débarrasser du gêneur ou de la gêneuse, l'important, au cas où on se trouvait dans son rayon d'action, devenait de se débarrasser de Columbo lui-même. Ce qui ne demandait aucunement des trésors d'imagination, vu qu'en cas d'assassinat de ce dernier l'enquête serait confiée à un de ses collègues bien moins futé. Débarrassé de l'homme à l'imperméable, le criminel pourrait sans trop d'inquiétude faire tranquillement disparaître sa victime préférée.

Je m'étonne qu'aucun des criminels démasqués par ce diabolique enquêteur n'ait eu mon idée. On m'objectera que c'eût été la fin de la série et que d'un point de vue moral ce serait contestable. Vu que tout a une fin et que le monde est loin d'être parfait, qu'importe ?

jeudi 13 avril 2017

Au four et au moulin

Deux endroits où l'on ne peut être en même temps. Sauf en cas de don d'ubiquité, don reconnaissons-le assez rare dont même M. Macron ne bénéficie pas bien qu'il fut un temps où les media tendirent à nous le faire accroire. Malgré les immenses avantages dont Dieu ou la nature m'a pourvu, je ne l'ai pas non plus et le regrette amèrement en voyant approcher la date fatidique du 16 avril, jour de Pâques mais aussi de mon départ pour la Corrèze. « Tous les départs, même les plus souhaités, ont leur mélancolie » se plaisait à citer mon ex-épouse (probablement en souvenir d'un de ces sujets de dissertation qui présentent l'avantage de demander qu'on réponde à des questions qu'on ne s'est pas plus posé qu'on ne se les posera jamais.). Je ressens toutefois cette mélancolie.

Les missions que je m'étais imposées pour la quinzaine de jours passés en Normandie sont remplies : je laisserai un potager entièrement nettoyé et partiellement semé, une serre débarrassée de ses herbes folles, un portail et une cabane ayant retrouvé leur blancheur, des gueules de loups repiquées, une pelouse par deux fois tondue, des annexes vidées des cartons et autres déchets qui attendaient depuis des mois qu'on les emportât à la déchetterie, bref je partirai l'âme sereine ou presque car deux choses la troubleront : l'impatience de mener à bien certaines tâches en Limousin et la crainte de manquer certains événements cruciaux en Normandie.

Si je me donne le mal d'entretenir un jardin, c'est pour les petits bonheurs qu'il offre à la belle saison. Celui d'y faire au matin un tour d'inspection n'est pas le moindre. Ça permet de noter que les pois ont levé, que la glycine se pare de feuilles, que la pivoine que l'on croyait morte redonne signe de vie, que  les fleurs d'une autre s'apprêtent à éclore, que les lilas fleurissent, imités par les fraisiers... Mille petits changements qu'une observation quotidienne permet de déceler et dont une absence prive...

Les iris qui devraient bientôt éclore seront-ils fanés à mon retour ? Manquerai-je la floraison du muguet, précoce cette année ? Les pommes de terre lèveront-elles sans que je le voie ? La première fraise de l'année sera-t-elle dévoré par un merle vorace ? Faute d'arrosage et en cas de beau temps, retrouverai-je mes semis de fleurs sous serre desséchés ?

Bien sûr Le Lonzac m'apportera d'autres spectacles mais en moindre nombre, le terrain n'y étant que rudimentairement planté. Retrouverai-je fanées les fleurs du tulipier qui s’apprêtaient à éclore ? Le spectacle de la floraison des iris limousins compensera-t-il celle des normands ? D'autres fleurs auront-elles apparu ?

On ne peut pas être au four et au moulin. Et c'est bien dommage.

mardi 11 avril 2017

Pourquoi je ne voterai pas le 24 avril

La raison est évidente : le scrutin aura lieu le 23. Mais ce jour-là non plus je n'irai pas voter. Si je m'abstiens ce sera dû à des considérations jardinières : j'ai en effet décidé de partager mon temps ente Normandie et Limousin en parts égales de deux semaines afin d'éviter que mes terrains respectifs s'y transformassent en jungles et le 23 je serai en Corrèze. Ne connaissant ici aucune personne de confiance partageant mes opinions et inscrit dans le même bureau, pas question non plus de procuration.

Quoi ? Vous ne remplirez pas votre devoir civique ? Vous laisserez aux autres le soin de décider de l'avenir du pays ? Vous ferez fi du sacrifice de nos pères qui sont morts ou se sont battus pour acquérir ce si précieux droit de vote ? Mais vous êtes un irresponsable, un nuisible, un oublieux, un bien triste sire !

La tête couverte de cendres, je devrais, tant est grande mon indignité, fuir la compagnie des hommes, et cacher ma honte en quelque solitude. Seulement, de honte ou d'indignité, je ne ressens pas et pour bien des raisons. Ne serait-ce que parce qu'en dehors de 2007, il n'est jamais arrivé que mon bulletin participe à la victoire d'un quelconque candidat. Et même en ce cas, il ne fut pas décisif dans la mesure ou plus d'une voix sépara M. Sarkozy de son adversaire. Il est d'ailleurs fort improbable que la qualification du deuxième candidat se fasse à une voix près. Mon vote n'a donc, cette-fois ci comme toujours qu'une importance bien relative...

Mais, pomme à l'eau, si tout le monde faisait comme toi, ce serait la fin de la démocratie ! Ah bon ? Et pourquoi tout le monde se mettrait-il à m'imiter ? « Chacun fait, fait, fait, c'qui lui plaît, plaît plaît » comme dit la chanson ! Imaginons cependant que tout le monde fasse comme moi. Les conséquences seraient phénoménales : de 300 habitants, mon village passerait à plus de 60 millions ; la demande en cigarettes mentholées et en whisky écossais atteindrait un niveau incompatible avec les capacités de production ; on ne verrait plus sur les routes que des breaks Focus immatriculés en 2002 ; Blogspot compterait des dizaines de millions de blogs de qualité ; etc. Dieu merci, les chances pour que tout le monde se mette à faire comme moi sont inexistantes que ce soit en matière électorale ou en tout autre domaine.

En revanche, je peux annoncer que, sauf accident, revenu du Limousin, je serai là et bien là le 7 mai et qu'en bon citoyen j'irai déposer un bulletin Fillon dans l'urne ou au cas où ça ne serait pas possible tout bulletin susceptible de barrer la route à la gauche. Au cas où notre bon peuple déciderait dans sa grande folie de désigner deux finalistes de gauche, voterai blanc.

En revanche, pour les législatives qui risquent d'être déterminantes, vue la chienlit qu'aura été la campagne des présidentielles, je voterai aux deux tours.