Décidément, ça ne s'arrange pas :
mon optimisme me perdra (ou me sauvera). Je pensais partir samedi et
maintenant j'ai repoussé la limite à lundi. D'abord parce que je me
suis avisé que voir les rails des rideaux n'était pas souhaitable.
J'ai donc réalisé un coffrage en bois pour les masquer. Ce qui a
pris l'essentiel de ma journée d'hier. Ensuite, le rangement du
bureau a duré bien plus que prévu. Bref, ce n'est pas demain que
j'aurai fini de ranger mes outils de sélectionner ceux dont j'aurai
besoin en Corrèze avant de les charger dans le break et de faire un
ménage que quelques mois de chantier réclament. Je ne pense pas
avoir besoin de deux jours pour ça, mais un peu de repos ne me fera
pas de mal avant les 8 heures de route. De plus, il semble que
jusqu'à lundi nous bénéficierons d'un temps pluvieux et venteux
qui ne me plaît qu'à moitié.
Quoi qu'il en soit, j'ai désormais un
bureau et mon salon est bien moins encombré de cartons. A mon
retour, m'attendra la préparation d'une chambre pour ma fille qui
viendra passer quelques jours à Noël.
Et voilà le travail :
On a vu pire...