On aura tout vu ! On attaque la
république dans tout ce qu’elle a de plus sacré à savoir ses
forces de l’ordre, ses enseignants, ses personnels hospitaliers,
ses promeneuses de chiens, ses églises*,
ses Juifs, ses passants ! C’est tout bonnement
inacceptable ! Il faut rendre hommage, défiler, allumer des
bougies, lâcher des ballons, déposer bouquets, poèmes et,
éventuellement nounours sur les lieux du drame, se déclarer outré,
s’écrier « plus jamais ça ! », pleurer, gémir,
sortir la grosse artillerie en somme ! On me dira que tout ça
est trop violent, que rien ne justifie un tel déploiement de force.
Il n’en est rien : la violence de l’attaque justifie celle
de la riposte selon la bonne vieille loi du talion : un
assassinat : un défilé, un massacre : des discours indignés,
des pleurs, des gémissements, des envols de ballons, des fleurs, des
bougies et des nounours. Cette loi est dure, mais c’est la loi.
Ceux qui ne saisiraient pas l’amère ironie du paragraphe précédent sont priés de cesser ici leur lecture car ce n’est pas à eux que je m’adresse.
Je n’en peux plus d’entendre ces jérémiades aussi vite oubliées que geintes ! L’affaire du prof décapité, pour moi, ne fait que s’inscrire dans le droit fil de tout ce qui l’a précédé dans le domaine de l’activité terroriste passée. Le modus operandi et son côté grand-guignolesque est certes propre à choquer les belles (et même moins belles) âmes et mène les pompiers-pyromanes qui passent leur temps à attiser le feu verser des larmes crocodiliennes sur le triste sort des victimes de l’incendie qu’ils aident à propager. Pour ce qui me concerne, si on me donnait le choix entre être égorgé, décapité, écrabouillé par un « camion fou », poignardé, ou fauché par une rafale de kalachnikov, j’aurais du mal à me prononcer. J’irai même jusqu’à dire que ce choix ne me convient aucunement et qu’à tout prendre je préférerais mourir de ma (plus ou moins) belle mort.
La sensiblerie qui ne mène qu’à des jérémiades et des gesticulations m’insupporte plus qu’elle ne m’émeut. La dérive islamiste d’une partie de la population musulmane qui vit sur notre territoire n’est qu’une des multiples menaces que subit la France**. Est-ce une raison pour qu’on tolère qu’elle vienne s’ajouter aux menaces internes que constituent les idéologies mortifères cultivées en son sein ? Ma réponse est : NON !
Les solutions sont pourtant simples. Tout est question d’assimilation. Une minorité ethnique ou religieuse a deux choix : soit rester dans l’entre-soi et ne pas faire de vagues, soit se diluer et finalement se dissoudre dans la population générale. Mais pour cela, il faut que son nombre soit soit restreint, soit facilement assimilable car de mœurs globalement semblables. Sans ces deux critères, il y a problème. L’Islam, en France, ne répond à aucun de ces deux critères.
Il faut, pour résoudre ce problème des mesures évidentes : Fin de l’immigration musulmane, suppression du droit du sol et du regroupement familial, expulsion des sans papiers, rétablissement de la « double peine », fermeture des mosquées islamistes, expulsion des imams radicaux, voter la déchéance de nationalité, etc. On me dira mais c’est compliqué, c’est même pas possible, il y a l’État de droit, l’Europe, les droits de l’homme, l’humanisme, les accords internationaux et tout le saint frusquin ! Si on écoute les belles âmes, il ne nous reste plus qu’à attendre le moins inconfortablement possible l’inéluctable islamisation de notre pays ou du moins de ce qu’en auront laissé les délires gaucho-destructeurs.
* Les églises, ça peut aller.
** Je parle de France car la république n’est qu’un système politique relativement récent (bien moins de 2 siècles en comptant les nombreuses éclipses de ce régime basé sur une atroce boucherie) alors que la France, c’est plus de 15 siècles.