On dira ce qu'on voudra, mais la
Bourgogne regorge de vieux amas de pierres. Profitant de la
proximité de certains d'entre-eux de notre destination finale, nous
nous y arrêtâmes afin de constater l'état déplorable de notre
pays avant que l'immigration ne soit venue l'enrichir.
La première étape fut Vézelay où
une célèbre basilique domine un village perché. Eh bien disons-le
tout net, on ne voit pas pourquoi certains arriérés en font tant
cas. D'abord, vu que la circulation y est réservée aux riverains,
il nous fallut nous garer sur un parking payant avant d'entamer une
pénible montée vers le cœur de la cité. Ne se rendent-ils pas
compte d'à quel point l’ascension coupe le souffle des invétérés
fumeurs ? Et puis à l'arrivée, que découvre-t-on ? Ça :
Eh oui ! Lamentable !
Comme si ça ne suffisait pas, notre
entêtement nous poussa à visiter Avallon. Point de longue montée
mais encore de vieilles pierres plus ou moins érodées :
Nous rejoignîmes Dijon, but de notre
voyage motivé par les fiançailles de ma chère fille à qui me
lient bientôt 32 ans de fidélité totale et inconditionnelle. Elle
célébrait ses fiançailles avec une jeune homme du cru dans
l'appartement dont ils s'étaient portés acquéreurs en compagnie de
la proche famille : aïeules, parents et sœurs.
La table et le cadre étaient d'une
élégance parfaite :
Les héros de la fête jeunes et
beaux :
Heureux et fiers, les parents
entourèrent leur progéniture :
Et les agapes se terminèrent par un
magnifique gâteau :
Une journée parfaite, propre à faire
oublier les horreurs architecturales du voyage ! Que les futurs mariés en soient remerciés ! Souhaitons leur un bonheur aussi parfait que durable .