Voici ce que vous
écrivez à propos des skinheads :
"Entre vous et moi, se faire tatouer des croix gammées sur le front relève-t-il de la conviction raisonnée ou de la simple crétinerie ?" (6 juin)
"Les crânes rasés qui s’en prennent à des individus en croyant par leur violence faire avancer des « idées » sont des délinquants. Point barre. Les exactions qu’ils commettent doivent être sanctionnées par la justice". (7 juin)
Qu’en conclut le BDG ? Que vous prenez la défense de ces crétins délinquants.
Le BDG met en lien un
article de Libération où il est
écrit ceci et qui selon lui apporte de l’eau à son moulin :
«En revanche, le film de la RATP «prouve
que le groupe d’extrême gauche a attendu longtemps les skinheads à côté de la
station de métro pour en découdre». Ce qui confirme les témoignages
de vigiles et organisateurs de la vente privée de vêtements de marques
anglaises (Fred Perry, Barbour, Ben Shermann et American Vintage) qui ont «vu et entendu les militants antifascistes
chambrer les skinheads, Clément Méric ayant été le plus provocateur»
en charriant les «fachos qui font leurs courses»
et en leur lançant : «On vous attend dehors.»
Le freluquet n’aurait pas été le dernier à chercher les costauds rasés »
Vous lui faites remarquer que seules de sacrées œillères peuvent l’amener
à penser qu’il s’agit là d’une disculpation
de son poulain et que tout échange devient inutile.
Comment réagit le BDG ? Il vous traite de fou, de con et de médiocre !
Comment s’étonner en ce cas que l’on préfère admirer la
floraison des pivoines roses à sa fréquentation ?