..Toi qui entres ici, abandonne tout espoir de trouver un contenu sérieux. Ici, on dérise, on batifole, on plaisante, on ricane.
samedi 8 octobre 2011
Au revoir, à bientôt !
Il va falloir que je m'absente pendant quelques jours. Tout dépendra du téléphone qui peut sonner dans la minute, dans l'heure, dans le(s) jour(s) qui vien(nen)t. Il sonnera bientôt, c'est la seule chose certaine et alors je prendrai la route de la Bretagne. Ceux qui m'ont fait l'amitié de suivre ce blog depuis le début comprendront...
A ce propos, je voudrais remercier tous ceux qui sont venus ici lire mes modestes contributions à l'édification de ce monument impérissable qu'est la Culture Française. Si j'ai pu, ces quatre dernières semaines, les faire sourire un peu mon combat n'aura pas été vain.
Je continuerai donc à écrire des conneries dès mon retour. Ceux à qui ça déplaît ne pourront s'en prendre qu'à ceux qui m'y ont encouragé.
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Alors vive les conneries et bon voyage en Bretagne et faites attention aux lavandières, Kannerez-noz en breton.
RépondreSupprimerBen voyons ! l autre il écrit a peine 4 semaines et hop en ballade en Bretagne, on rêve.
RépondreSupprimernb: bizarre, ds ta blogroll, est ressorti un billet a moi d il y a 5 jours alors que celui d avant hier apparaissait
Ca va être de ma faute...
RépondreSupprimerBonne route, M'sieur Jacques, prudence.
RépondreSupprimerEt bon courage pour ce que vous allez vivre…
C'est sans doute à ce moment que l'on devient vraiment adulte.
RépondreSupprimerBon courage
@ Grandpas et Corto : Ce n'est pas un voyage d'agrément !
RépondreSupprimer@Carine et Nachu : Merci.
Je suis toujours là. On m'avait dit que ça pouvait être une question d'heures, il semble que ce soit une question de jours...
Une histoire concoctée par l' Ankou ((oberour ar maro).
RépondreSupprimerBon courage...
RépondreSupprimerNous sommes revenus à notre origine.
Ce fut le lieu de l'évidence, mais déchirée.
Les fenêtres mêlaient trop de lumières,
Les escaliers gravissaient trop d'étoiles
Qui sont des arches qui s'effondrent, des gravats,
Le feu semblait brûler dans un autre monde.
Et maintenant des oiseaux volent de chambre en chambre,
Les volets sont tombés, le lit est couvert de pierres,
L'âtre plein de débris du ciel qui vont s'éteindre.
(Bonnefoy)
Merci, Suzanne.
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