dimanche 22 avril 2012

Que dire en ce beau jour ?




Comment ne rien dire qui puisse influencer le vote de mes concitoyens ? La seule mention  des élections  peut pousser ceux qui n’étaient pas au courant à y participer. Si je dis qu’il pleut, ça peut décourager l’électeur hydrophobe, si je dis qu’il fait beau  ça peut l’encourager à aller à la pêche. La plus grande prudence s’impose.

Donc : silence. Il sera toujours temps ce soir (après vingt heures) ou demain de se lancer dans de fines analyses. Allez, bon dimanche à tous ! Faites ce que bon vous semble !

Je dénoncerai à la kommandantur   qui de droit tout commentaire susceptible d’influencer le fragile électeur.

18 commentaires:

  1. Et pour le dessert de ce beau dimanche d'élections j'ai envie de me taper une belle assiette de fraises écrasées !

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    1. Attation, Mildred, attation ! C'est vraiment border line ce que vous venez d'écrire !

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  2. C'est bien beau de "dénoncer à qui de droit" mais qui est au juste de droit ?

    Pour bien faire, il faudrait créer un Office Central de la Délation (OCD) avec des antennes régionales, départementales et locales auquel on pourrait signaler toutes les déviances par rapport à la pensée décente que l'on peut constater dans son entourage. Ce qui m'étonne c'est qu'aucun candidat n'y ait songé tant la pratique est dans l'air...

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  3. En entrée un tartare de nain nerveux(cabri de Neuilly).
    Rien ne vaut la potée bretonne mitonnée dans la cuisine d'un hôtel borgne.

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  4. Et voilà que vous démontrez, jazzman, s'il en était encore besoin que, à part la raclette, les Suisses n'y connaissent rien en gastronomie !
    En effet, tout le monde sait que le cabri de Neuilly, surtout en tartare, est particulièrement indigeste, et en général reste en travers du gosier de tous ceux qui se sont risqués à vouloir l'ingérer.
    En remplacement, je vous propose donc une fricassée de tétines de Blonde d'Armorique, race en plein essor destinée à remplacer avantageusement la Blonde d'Aquitaine, à court terme.
    Ces tétines pourront se déguster, soit escalopées et roulées dans la fine fleur de farine, soit de manière plus rustique, tout simplement en salade.

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    1. J'ai eu peur que vous me proposiez une essalope de dinde à la royale. Si on parlait plutôt de l'entrecôte chasseur, histoire de rire un coup avant d'en tirer un après avoir semé celui de l'hôtel borgne dont je parlais.
      J'espère avoir été clair.

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    2. Je viens de me souvenir qu'il n'y a pas chasseur dans les hôtels borgnes, seulement un concierge qui ne dort que d'un oeil.

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  5. Des endives gratinées au Vieil Amsterdam avec pour dessert une omelette norvégienne le tout arrosé d'un Tokay.

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    1. Cette fois, c'en est trop : je vous dénonce ! A qui ? Ma décision n'est pas prise mais dès que j'aurai trouvé une solution valable, je vous balance. Ça vous laisse le temps de préparer une valise.

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  6. Et voilà, c'est plié. Ce sera fromage ou cabri.
    Bon appétit.

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  7. Debout la-dedans, Nom de Dieu !
    Il paraît que Marine Le Pen va tous nous bouffer tout crus.

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    1. Allons, allons, prenez vos cachets, c'est fini. Les veaux ont gagné et quel que soit le résultat du second tour vous allez vous prendre 200'000 immigrés bougnoulonégroïdes dans le fondement par année.
      Vous n'allez pas vous faire bouffer, mais défoncer.
      Quoiqu'avec les africains ça pourrait être les deux, on ne sait jamais.
      Un cannibale, c'est quelqu'un qui aime son prochain...avec de la sauce (JP Mocky).

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    2. Mildred, on est debout et sur le pont !

      Jazmann, je vous trouve bien amer. Paris ne s'est pas fait en un jour...

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  8. "vous allez vous prendre 200'000 immigrés bougnoulonégroïdes dans le fondement par année."
    pov' Mildred !
    Je compatis :((

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  9. Vous n'êtes pas en train de faire, mais de défaire, et vous y avez participé avec vos pudeurs de chochotte "il y a des thèses auxquelles je ne peux pas adhérer".
    Et vous voudriez que je me réjouisse. Pffhhh.

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    1. Il me semble, Jazzman que vous n'ayez pas bien saisi ma démarche. Je l'explique dans mon billet d'aujourd'hui.

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    2. Votre démarche, c'est de se prendre les pieds dans le tapis.

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