samedi 29 août 2020

Un autre temps...

 Je suis tombé par hasard sur cette vidéo. Plus que tous les tristes discours du type "deploration temporis acti" en plus de faire rire, elle démontre si nécessaire à quel point entre ce que l'on pouvait dire du temps de ma jeunesse folle et ce qui est acceptable aujourd'hui un abîme s'est creusé. Comment, quand on a connu une telle époque, pourrait-on supporter les folies de maintenant ?

A regarder jusqu'à la fin puis à méditer : 



15 commentaires:

  1. Vous avez fait ma journée, Oncle Jacques ! Merci !

    RépondreSupprimer
  2. Oh la la, y'a tout! Faut brûler et vite!

    Le Page.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il est vrai qu'il y a plusieurs points qui aujourd'hui choqueraient les belles âmes : alsaçophobie, éloge de l'ivrognerie, moquerie du handicap ne sont plus admissibles.

      Supprimer
  3. On dirait que vous avez envie de prendre une tarte ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Serait-ce un appel ?...

      Dominique

      Supprimer
    2. Pourquoi une tarte ? Je ne suis pas très porté sur la pâtisserie.

      Supprimer
  4. Mais vous avez oublié le pire ! Il fume sur le plateau !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et malgré ça Philippe Bouvard devrait fêter ses 91 ans début décembre ! Comment expliquer cela ?

      Supprimer
  5. M.Etienne, sauf votre respect, n'êtes-vous pas plutôt de la génération de son fils, Bertrand Blier ( Les Valseuses, Buffet froid, Tenue de soirée...)?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. En fait, Bernard Blier était de 4 ans l'aîné de mon père et son fils est le mien de 11 ans ("Les Valseuses" sont sorties en 76 et je ne l'ai vu que plusieurs années plus tard alors que je n'étais déjà plus un perdreau de l'année). Je ne revendique pas d'appartenir à la génération de l'un ou de l'autre, donc. Ce que je veux dire c'est que j'ai grandi dans un monde ou des acteurs tels que Blier, Gabin, Ventura, Delon, etc. étaient les têtes d'affiche. Qu'on le veuille ou non, c'est notre enfance et notre prime jeunesse qui nous marquent le plus, où se constituent les bases d'une culture sur lesquelles on bâtit sa personnalité. C'est pourquoi je me sens plus appartenir à l'époque de ces gens-là qu'à celle des féministes rabiques, des végans, des LGTBQ+++++ (et +), des écolobobos, des antiracistes et autre faune "moderne".

      Supprimer
  6. Merci pour cette vidéo, onc' Jacques, j'ai bien ri. Ces acteurs savaient sacrément bien imiter les accents.
    Orage

    RépondreSupprimer
  7. Certes les propos peuvent heurter si l'on a pas le bon sens de les remettre dans le contexte de leur époque (ni meilleure ni pire, juste une autre époque). Mais franchement quand on connaît le personnage et le côté pince sans rire de Blier, difficile de démêler le vrai du second degré, non?

    RépondreSupprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.