mardi 23 septembre 2014

Ma question est : faut-il désespérer ?



Je paraphrase Sardou mais mon questionnement est sincère. Comme Corto, je m’interroge sur ce que veulent certains. De même,  quand je lis Koltchak la perplexité m’envahit. Au fond, la question est : faut-il attendre, le cul dans son fauteuil, baignant dans une douce délectation morose que la France s’écroule, que s’enfonce dans le chaos ce pays que nous aimons tant ? Et cela sous prétexte que n’émerge pas une Jeanne d’Arc, un De Gaulle, un homme ou une femme sans peur et sans reproche qui partage EN TOUS POINTS nos opinions.

Je ne crois pas en l’homme ou la femme providentiel (le). Quand on les observe bien, les grandes figures de notre histoire n’étaient pas si blanc-bleu qu’on peut les rêver… N’étant pas croyant, j’ai peine à suivre une jeune fille guidée par des voix célestes, quand au général, je vois plus en lui un habile politicien faisant feu de tout bois qu’un sauveur héroïque. De là à les jeter au panier, il y a un grand pas…

Personnellement, je mène depuis trois ans la vie qui me convient. Mes ressources sont modestes mais comme mes goûts et mes envies le sont également, rien ne me manque. J’habite un endroit agréable où la menace d’ « invasion » est quasi inexistante. Je ne suis pas plus inquiet que ça pour ma fille qui est née et a grandi dans une société différente de celle que j’ai connue. Elle est donc mieux adaptée aux changements intervenus et à venir. Les générations qui suivront feront avec ce qu’elles auront tout comme nous avons fait avec ce que nous avions. Je peux donc passer le temps qu’il me reste dans un confort certain.

Et pourtant, je ne me résigne pas. Si des changements sont inéluctables, si un retour au passé est illusoire, cela n’implique pas qu’on se contente d’observer, habité par un sentiment de totale impuissance. Est-ce à dire que je prône l’action ? Pas vraiment. D’abord, de quelle action s’agit-il ? Aller défiler derrière des pancartes en criant des slogans ne sert pas à grand-chose. On peut être des millions à manifester pour ou contre ci, ça ou le reste, tant qu’on ne représente pas une menace concrète et pressante pour l’ordre public, ça ne change rien ou presque. On m’opposera les manifs pour l’école libre de l’an quatre-vingt quatre. Mouais… Les temps étaient à la rigueur. Croyez-vous que ramener dans le giron de l’EN 20% des élèves scolarisés qui coûtent à l’État deux fois moins que les autres était à l’ordre du jour avec les milliards d’Euros(je parle en monnaie d’aujourd’hui) que cela eût coûté ? Je crois que le père François a dû être soulagé d’abandonner le projet Savary : il se montrait ainsi à l’écoute du peuple, économisait des fortunes tout en se trouvant une excuse pour abandonner une mesure phare autant qu’irréaliste sans trop perdre la face vis-à-vis des laïcards rabiques. Quant à l’action violente, elle a ses avantages : les Bretons obtiennent souvent ce qu’ils réclament en mettant le pays à feu (pour le sang, pas encore). Ce n’est toutefois pas sans danger : la violence engendre la violence et en arriver, d’action musclée en action musclée, à un état de guerre civile larvée ou pas ne m’attire aucunement.

Alors quoi ? Eh bien tenter de convaincre et d’influencer. On dit souvent qu’on ne prêche que des convertis. Rien n’est moins sûr. Il y a une décennie, les voix « réactionnaires » trouvaient bien moins d’écho qu’aujourd’hui. Il faut donc croire que l’on peut convaincre. Si l’UMP donne des boutons, si le FN devient cryptocommuniste, est-ce une raison pour laisser le champ libre à la gauche ? Si les politiciens n’ont pour objectif que leur réélection, ne serait-il pas utile que se constitue une force de droite radicale affichant clairement ses objectifs primordiaux (et sachant taire ses points de discorde) sans le soutien de laquelle aucune majorité ne serait envisageable et dont il faudrait bien tenir compte des aspirations ?

Le tout ou rien ne mène jamais au tout. La résignation mène sûrement à rien. Les « réacs » et les « conservateurs »* plutôt que de se désoler feraient mieux de s’entendre sur ce qui les réunit et d’oublier leurs désaccords afin de constituer une force d’influence incontournable avant, peut-être, avec le temps,  de convertir une large majorité au bien fondé de leurs options.

*Ces deux termes me paraissent inadéquats : Réagir ou conserver est  illusoire : je serais plutôt pour un « progrès différent » : on n’arrête pas le cours du temps et l’évolution des sociétés, on ne peut que les accompagner en leur donnant des orientations différentes de celles que la gauche nous présente comme inéluctables.

37 commentaires:

  1. A propos du Général, dont quelques uns savent ici que je suis "gaulliste et loufoque", il est notoire qu'il avait fait installer deux compteurs EDF distincts à l'Elysée dont l'un pour l'appartement présidentiel pour lequel il tenait à payer lui même.
    Mais peut-être était-ce de la "com" avant l'heure.

    J'aime à penser que le nain magyar serait plutôt du genre à tirer un câble pour revendre l'électricité à ses voisins ...

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    1. Pas nécessairement de la com. Pas nécessairement édifiant non plus...

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    2. L'autre truc notoire, sur de Gaulle, c'est qu'il a installé à les communistes à EDF, lesquels en ont profité pour installer un gros tuyau branché sur les revenus des Français et arrivant dans leur poche.

      Je crains que la fable du compteur électrique de de Gaulle, tellement an vogue en ce moment, ne soit surtout une façon pour les néo-communistes, anciens communistes et communistes maintenus de maquiller ce léger détail de l'histoire de la Seconde guerre mondiale.

      J'aurais préféré qu'il chauffe l'Elysée les fenêtres ouvertes aux frais du contribuable, plutôt que de me retrouver avec un pays communiste jusqu'au trognon soixante-dix ans plus tard.

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  2. Alors qu'on lui présentait, à la Libération, un Anglais membre des services secrets britanniques qui venait de défiler à la tête des mille maquisards français qu'il avait menés au combat contre les nazis, le général de Gaulle lui intima l'ordre de quitter le pays dans les dix minutes.

    Celui-ci répondit : je vous emmerde. De Gaulle n'étant visiblement pas habitué à ce qu'on lui parle comme ça, l'Anglais ajouta : eh bien ? vous ne comprenez pas le français ?

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    1. D'où sortez-vous cette anecdote ?

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    2. Des mémoires d'une espionne britannique, tardivement décorée par la France et qui ont dû paraître récemment. Je n'arrive pas à retrouver le titre...

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    3. L'agent du SOE renvoyé par de Gaulle était George Reginald Starr. Cet incident s'est déroulé à Toulouse et est assez connu; il me semble qu'il est évoqué par de Gaulle lui-même dans ses Mémoires de Guerre, et/ou par le général de Larminat dans ses Mémoires Irrévérencieuses. J'ignorais l'anecdote du "je vous emmerde" mais M. Wikipedia le cite partiellement dans ses notes. Quant la collègue de George Starr, je pense qu'il s'agit de Vera Atkins: http://www.amazon.fr/Vera-Atkins-une-femme-lombre/dp/2020985365

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    4. Je ne sais pas s'il s'agit de Vera Atkins. Je ne reconnais pas la couverture, mais je peux avoir oublié. En tous cas, il me semblait bien qu'elle faisait partie du SOE.

      En fait, dans le bouquin, il y a deux chefs anglais de la Résistance française qui se font successivement intimer l'ordre de se faire rares par de Gaulle. L'un d'eux lui répond : merde, l'autre : je vous emmerde.

      L'un d'eux avait demandé auparavant : puis-je vous répondre, mon Général ?

      Au-delà de l'anecdote, une partie du propos du livre consiste à faire valoir l'ingratitude du général envers les Anglais alors même qu'il était réfugié à Londres. Churchill se serait scandalisé de son arrogance en s'étonnant qu'il agisse vis-à-vis de lui comme s'il était Staline, alors qu'il n'avait ni armée, ni argent, ni rien.

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    5. De Gaulle s'exprime longuement à ce sujet dans ses Mémoires de Guerre, voir l'épisode des intrigues de Spears au Levant. Autre patriote intransigeant du même tonneau qui confirme ses dires, le général Edgar de Larminat, précédemment cité, et dont le bouquin (publié l'année de son suicide) est un régal d'humour vachard. Oui, certes, les gaullistes de la première heure doivent tout aux Britanniques, mais il faut aussi se souvenir des couleuvres que ces derniers leur ont fait avaler - ou essayé de leur faire avaler - pendant quatre ans. Pas simple, la Seconde Guerre Mondiale...

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    6. Il me semble que le second cas que vous évoquez, Robert, concerne un autre émissaire du SOE à Bordeaux. Le SOE, en effet, avait organisé des réseaux en France - comme dans tout le reste de l'Europe occupée - et se trouvait donc en concurrence directe avec ceux qui étaient chapeautés par le BCRA (les services secrets gaullistes). Comme ils échappaient à son emprise, de Gaulle s'en est débarrassé à la première occasion lorsqu'il s'est agi de reprendre le contrôle du territoire national à l'été 1944. Pas d'ingérences étrangères; c'était sa ligne de conduite. Il a fait la même chose avec les communistes (Ravanel à Toulouse).
      Vera Atkins faisait partie du SOE comme tous les agents britanniques en France occupée, dont nombre ont été arrêtés et liquidés par les nazis. Parmi eux, plusieurs femmes.

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  3. L'écart entre "ne rien faire" et "tenter de convaincre" c'est du bavardage ! Il vous faut créer la branche bas-normande d'Al-Qaida Ouest-Nord-Ouest jusqu'à Douvres-La-Délivrande sud, section "des collines" avec siège dans l'appentis et faire équiper votre bagnole en kampfbereit. Je suis prêt à fusionner ma propre section d'action avec la vôtre et monter une première action d'éclat : par exemple la réunion d'un Ummat des blogs de résistants au bistrot de l'Astre Foireux. Je te salue Frère.

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  4. Mon cher Jacques, vous devez avoir des mails en attente de réponses…

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  5. Et bien cela prouve que sa phobie administrative n'est pas une fiction.
    Le ministre avait une gestion verticale de ses factures voilà tout.
    Parfois j'aimerais pouvoir en faire autant.....

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  6. A propos de "je vous emmerde" ou autre expression toute aussi soignée, j'aime bien la répartie de Jacques à un quidam le saluant d'un "Connard" lors d'un évènement public: "Enchanté moi c'est Chirac !"...

    Suivez mon regard ...

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    1. Eh oui. Par contre, il a été à peu près aussi nuisible à la France que François Hollande pendant les 10 ans de son "règne", entre ses reniements et son inaction crasse. Que peut-on retenir de positif des années Chirac? Vraiment pas grand chose.
      Malheureusement, ce sont des comparaisons comme celle-ci que la population retient; c'est un peu triste.

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    2. On retient aussi que c'était un grand baiseur, ce qui est sympathique et flatte les Français, mais ne va pas bien loin en matière de conduite du pays.

      Je remarque que Hollande se fait incendier parce qu'il a eu deux maîtresses, auxquelles il a consacré un certain temps, tandis qu'on n'a jamais reproché à Monsieur dix minutes douche comprise de marcher derrière sa bite.

      On disserte gravement sur les failles morales que révélerait le fait, pour Hollande, d'avoir eu trois femmes dans sa vie et de ne pas s'être marié (alors que lorsque cela touche Monsieur Français Moyen, ça s'appelle "famille recomposée" et c'est porté au pinacle), mais curieusement, le fait, pour Chirac, d'être incapable de fermer sa braguette entre un conseil des ministres et une rencontre avec des chefs d'Etat étrangers n'est pas considéré comme un signe d'instabilité mentale et d'immaturité affective, comme la preuve de son "incapacité de s'engager", comme un risque pour la sûreté de l'Etat ou comme un symptôme qu'il s'intéresse davantage au youp'là-boum qu'au destin de la France.

      Tout cela est bien étrange.

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    3. Pas vraiment: les Français ont la mémoire courte, c'est bien connu.

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    4. Ca n'a rien d'étrange. La morale réac traditionnelle veut qu'on ne blâme pas l'homme qui trompe sa femme à condition qu'il soit marié et ne l'abandonne pas. En soit c'est tout le contraire du refus de l'engagement, Chirac n'a jamais divorcé il est resté en quelque sorte fidèle à Bernadette toute sa vie. Les femmes qu'il se tapait en 3 minutes c'était pas du sérieux, ça ne compte pas vraiment.

      Hollande lui c'est tout l'inverse, il refuse de se marier, donc de donner un statut à la mère de ses enfants, il refuse de l'assumer, d'assumer son rôle de père de famille. Pire que ça dès qu'il rencontre une actrice de passage, il passe non pas 10 minutes douche comprise avec elle, mais des nuits entières et organise son agenda pour aller la voir en scooter. Et fin du fin il se croit obligé de quitter Valérie parce qu'à un moment donné il aime Julie. Bref au niveau du comportement intime Hollande est bien de gauche ça devrait rassurer les frondeurs.

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    5. Hahaha, Buck, collector...

      La morale réac traditionnelle veut qu'on ne blâme pas l'homme qui trompe sa femme à condition qu'il soit marié et ne l'abandonne pas. En soit c'est tout le contraire du refus de l'engagement, Chirac n'a jamais divorcé il est resté en quelque sorte fidèle à Bernadette toute sa vie. Les femmes qu'il se tapait en 3 minutes c'était pas du sérieux, ça ne compte pas vraiment.

      Vous vous rendez compte de l'ironie involontaire de votre propos, j'espère ?

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    6. Oui c'est ironique évidemment et volontairement. Pour autant ce n'est pas totalement faux.

      Qui est le plus salaud ?

      L'homme qui au bout de 20 ans de mariage décide de quitter sa femme parce qu'il a rencontré une jeunette qui le fait de nouveau rêver, ou alors celui qui de temps en temps se tape des filles de passage mais rentre tous les soirs à la maison pour s'occuper de sa femme et de ses enfants ?

      Vous n'avez jamais rencontré d'homme dont c'était la morale ? Moi plusieurs.

      J'ai aussi vu l'inverse.

      Le mec "génération 68" qui a fait des enfants avec plusieurs femmes, ne s'est jamais engagé avec personne, n'a jamais construit de vie de famille, et qui est aujourd'hui détester par ses enfants à cause de son absence.

      Pourtant cet homme génération 68 a été plus sincère et moins hypocrite qu'un vieux réac, mais pas sûr qu'il soit moins égoïste.

      Bien évidemment je décris là une morale réac et virile traditionnelle. Ce n'est pas la mienne. Moi je pense qu'il faut rester fidèle à la même femme toute sa vie et résister aux tentations. Mais ça c'est parce que je suis un moderne efféminé probablement :)

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  7. Bien d'accord avec vous mais pour fédérer la Droite conservatrice et réac il faudrait un "homme
    providentiel" et actuellement nous n'avons en magasin qu'une femme, certes assez virile mais plus
    démagogue que providentielle. La démocratie aime bien les concepts mais lorsqu'il s'agit de les
    mettre en oeuvre il lui faut pouvoir les identifier à un personnage significatif et Sarkozy, on l'a déjà
    constaté, ne saurait faire l'affaire.
    Je crains que nous ne soyons pas près de résoudre le problème...
    Amitiés.

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    1. Il faudrait aussi que les "Réacs" acceptent de se réunir sur quelques valeurs fondamentales plutôt que de se déchirer sur des points secondaires. Ve n'est pas gagné non plus...

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    2. Désolé mais le seul homme providentiel de l'Histoire de France a été une femme, à savoir Jeanne d'Arc ! Les bourguignons devaient sûrement la qualifier de populiste et démagogue à l'époque.

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  8. Quand on vit loin des lieux où le terrorisme de masse risque de se déchaîner, dans un jardin plein de chenilles et de lombrics, qui donne plus de légumes que les estomacs ne peuvent en digérer, pourquoi désespèrerait-on ?

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    1. Mildred, je pense que vous avez assez bien résumé la situation. Attendez la prochaine attaque de piérides, et vous allez voir de quel bois se chauffe notre blogueur !

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    2. @ Mildred : Il est sûr que je ne désespère pas. Ce qui m'inquiète, c'est de voir que la France, et, dans son ensemble, la civilisation occidentale, sont en train de sombrer.
      @ Al : L'attaque redoutée est en cours sur mes choux. Je pense qu'un bon coup de froidure viendra à bout ce ces charognes. En attendant, j'écrabouille leurs immondes larves.

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    3. Le génie de l'occident, et pourquoi du christianisme tant qu'on y'est dans la provocation, qui se révèle dans le Château (Haut) Brion ...

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  9. Pardon, je m'esscuse, c'est pas terminé : maintenant, c'est le chauffagiste qui n'a pas été payé. Le député Thévenoud a décidé de nous dérider deux fois par jour, avec ses factures baladeuses.

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  10. Vous êtes vulgaire avec ces questions d'argent...

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  11. Faut pas désespérer billes en cour ...

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  12. Avec tout ça on ne sait toujours pas pour qui J-E à l'intention de voter après la démission d'Hollande.

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  13. Les réactionnaires et les gens de droite plus acceptables s'entendre, avez vous déjà essayé de mélanger l'eau et l'huile, j'ai un doute même pour le bien de ce pays et je pense que c'est un mal français voir la description que donnent Astérix et Obelix dans "La grande traversée".

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  14. Vous avez raison, Fredi, ça doit être mon côté ultra-libéral, épicier consumériste anglo-saxon.

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  15. A votre question-titre je répondrais oui. Le régime politico-social a créé notre situation présente par ses dogmes. Les peuples, abrutis volontairement par les profiteurs, n'ont plus d'éléments d'analyse autres que ceux créés par le Système et sont donc incapables de sélectionner les meilleurs puisque le Système est construit pour les médiocres. Les meilleurs s'arrachent !
    Reste la fausse question de l'homme providentiel, très prisé encore de nos jours en Europe latine. On fait quoi à sa mort ? On récupère les privilèges perdus !
    Le sage sous l'olivier surveillant l'alouette nous dit : Préférez la Famille à la cité, la Cité à la province, la Province à l'Etat, l'Etat à l'humanité".

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  16. A choisir le modèle, je ne mettrais pas un parachute en or massif sur mon dos à la portière de l'avion :)

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