Je ne sais pas pourquoi, mais depuis quelques jours, je ne trouve pas le temps (et/ou l'énergie) pour rédiger un de ces merveilleux billets qui parlent au cœur comme à la raison et instruisent tout en distrayant.
Je prie la multitude de mes lecteurs d'excuser cette absence et leur promet mollement de veiller à ce qu'elle ne s'éternise...
Le dormeur de Normandie, reposez vous cher Jacques et revenez quand vous serez en forme.
RépondreSupprimerPaasez un bon Dimanche au coin du feu.
RépondreSupprimerRien que de plus normal.
RépondreSupprimerEt il n'y a aucune obligation à publier tous les jours.
Reposez vous, vous nous reviendrez meilleur encore.
Mais eh, vous avez droit à une petite pause...
RépondreSupprimerJe suis bien certaine que l'actualité de ces prochains jours saura vous chatouiller le crayon ou le clavier. (je parierais même pour demain....)
Reposez vous bien Jacques.
Mais qu'est-ce que c'est que ce scandaleux laxisme, chez vos commentateurs ? Votre attitude, ça s'appelle : abandon de poste devant l'ennemi, tout simplement ! Vous devriez être fusillé pour l'exemple, comme les déserteurs de 14, pour un truc pareil !
RépondreSupprimerPrenez votre temps, nous vous attendrons.
RépondreSupprimerMoi j'trouve ça honteux. Arrêter d'écrire sous prétexte qu'on n'y arrive plus, ou pire qu'on a rien à dire, ça ne se fait pas.
RépondreSupprimerPrenez donc exemple sur BHL...
@ Grandpas : Si j'attendais d'être en forme, ça risquerait d'être long !
RépondreSupprimer@ Carine : Merci. C'est en partie ce que nous avons fait.
@ Fredi : Meilleur encore ? Ça va être dur !
@ Dixie : L'actualité ? Entre la crise monétaire à laquelle je ne comprends rien et les changements d'horaires des trains que je ne prends jamais, je ne sais que choisir...
@ Didier : Je comprends votre indignation. Toutefois, la solution que vous préconisez ne me satisfait qu'à moitié.
@ Mildred : je reviens aujourd'hui même avec un sujet d'importance...
@ Fik : C'est facile de critiquer BHL. Mais que ferions-nous, si, comme lui, nous étions milliardaires et que malgré ça nous ressentions le besoin d'exister ?