mardi 1 novembre 2011

Naître ou ne pas naître, là est la question




On aura beau dire et beau faire, penser à droite, à gauche, devant, derrière, dessus ou dessous, il n'en restera pas moins que le problème principal des sociétés développées est la démographie. Le reste est épiphénoménal.  La prospérité économique semble entraîner automatiquement une baisse de la natalité et un allongement de la vie. De plus en plus de personnes agées et de moins en moins de jeunes pour assurer leurs vieux jours. L’Allemagne  commence à voir sa population décroître. Notre démographie atteint (presque) le seuil de renouvellement, mais en partie grâce à la fécondité supérieure de certaines femmes issues de l'immigration.

Il n'y a pas trente-six solutions : soit les sociétés développées refusent l'immigration et s'éteignent lentement. Soit elles acceptent l'immigration, mais, celle-ci venant de pays de cultures différentes, cela n'ira pas sans que leur nature s'en trouve profondément bouleversée. Soit enfin, elles connaissent une "renaissance démographique" endogène et continuent leur évolution naturelle.

Le scénario le plus favorable et, malheureusement, le moins probable, est à mes yeux le troisième. Il semble cependant que le second soit en marche. Quand au premier...

Tout ça, c'est des truismes, me direz-vous. Certes. Alors que faut-il en penser de cette question démographique ? J'attends d'être éclairé.

1 commentaire:

  1. Des solutions, un parti politique non correct avait essayé, réserver les allocations aux seuls enfants dont les deux parents étaient des français de souche, là j'avais tout faux.

    Supprimer les allocations, je ne pense pas car cela n'empêchera pas les remplacements de population.

    Non, je ne vois pas.

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